Il est établi que lors de leur installation par l’Inspecteur général d’Etat, a-t-il poursuivi, mission leur a été donnée de créer une condition favorable de passage de l’OCSS à la Caisse nationale de Sécurité dont le montant de financement de la feuille de route de plan d’action est chiffré à 131 millions de francs Cfa. C’est autour de financement du plan d’action que le Conseil d’Administration a fait l’objet d’une accusation de détournement de la part de ces détracteurs.
Le Président Daniel Nditiféï Boy-Sembé a qualifié d’illégaux les deux arrêtés portant suspension du Conseil d’Administration de la Caisse Nationale de Sécurité et l’autre mettant en place un Comité de gestion.
Selon lui, les deux arrêtés sont totalement aux antipodes de nos textes et de la dernière instruction présidentielle du 1er juin 2011, interdisant aux ministres de procéder à la nomination à la haute fonction de l’Etat ou à la révocation par un arrêté ministériel.
« Le conseil d’Administration de la Caisse Nationale de Sécurité a souligné avec force que son combat se situe au respect des textes qui gouvernent la République », a-t-il fait remarquer.
« Le ministre Noël Ramandan s’est comporté en comploteur pour déstabiliser le Conseil d’Administration de la Caisse nationale de Sécurité. Il faut dans ce pays, nous apprenions à respecter la loi. Personne n’est pas au dessus de la loi », a conclu Daniel Nditiféï Boy-Sembé.
Le Président Daniel Nditiféï Boy-Sembé a qualifié d’illégaux les deux arrêtés portant suspension du Conseil d’Administration de la Caisse Nationale de Sécurité et l’autre mettant en place un Comité de gestion.
Selon lui, les deux arrêtés sont totalement aux antipodes de nos textes et de la dernière instruction présidentielle du 1er juin 2011, interdisant aux ministres de procéder à la nomination à la haute fonction de l’Etat ou à la révocation par un arrêté ministériel.
« Le conseil d’Administration de la Caisse Nationale de Sécurité a souligné avec force que son combat se situe au respect des textes qui gouvernent la République », a-t-il fait remarquer.
« Le ministre Noël Ramandan s’est comporté en comploteur pour déstabiliser le Conseil d’Administration de la Caisse nationale de Sécurité. Il faut dans ce pays, nous apprenions à respecter la loi. Personne n’est pas au dessus de la loi », a conclu Daniel Nditiféï Boy-Sembé.