S’inscrivant dans le cadre du troisième programme immobilier 2008-2013, la future direction nationale de la BEAC sera constituée d’un socle à rez-de-chaussée et d’une tour de onze étage d’une hauteur de 65m auquel seront adjointes trois villas dans la cour avec une superficie totale de 22.700m2 à réaliser sur un site de 49.823m2.
La tour elle-même sera composé d’un sous-sol qui abritera le parking des cadres de la banque centrale, d’un rez-de-chaussée comportant les services de comptabilité, d’informatique, des systèmes et moyens de paiement, d’émission monétaire et d’un amphithéâtre pouvant contenir 250 personnes.
Du premier au sixième étage sont logés des appartements, studios de passage et salons de réception, tandis que le septième est réservé aux différents services du Directeur national, et les dixième et onzième à la salle du conseil d’administration, aux bureaux et au salon du Gouverneur, aux administrateurs et hôtes de marque de la banque, le tout relié par une batterie d’ascenseurs situés au milieu de la tour.
Sur le plan extérieur, il est prévu une clôture en grille de trois mètres à la façade et un mur de béton sur les autres côtés.
Par ailleurs, la conception et la réalisation sont à l’actif du cabinet d’architecture français ATAUB ayant déjà réalisé plusieurs travaux de la banque centrale dont le siège central de Yaoundé au Cameroun, la direction nationale de Ndjaména au Tchad et celle en cours d’achèvement de Libreville au Gabon, les immeubles de Franceville (Gabon), de Berbérati (Centrafrique) et de Ouessé (Congo).
Selon le Gouverneur de la BEAC Philibert Andzémbé, la construction de cet immeuble répond à la fois au souci de modernisation des installations de la banque et à celui de la fonctionnalité harmonieuse de travail du personnel.
« Je voudrais vous rassurer que tout sera mis en œuvre pour que l’image, son allure, la noblesse des matériaux et la décoration inspirent à la fois le respect, la sécurité et la beauté afin de refléter l’image de la banque centrale et de donner ainsi un cachet particulier à l’urbanisation de la ville de Bangui la coquette », a-t-il promis.
Pour Philibert Andzémbé, la réalisation d’un nouvel immeuble pour la direction nationale de Centrafrique est le signe de l’accroissement des activités de la banque centrale dans ce pays, dans l’esprit des réformes engagées par cette institution sous-régionale.
« Ces réformes visent en priorité l’efficacité de la politique monétaire à améliorer les dispositifs de surveillance des système et moyen de paiement, surtout depuis la mise en vigueur des mécanismes de règlement de gros montants », a-t-il précisé.
Le ministre des Finances et du budget Albert Besse s’est pour sa part réjoui de l’initiative de la banque centrale et a souhaité que des entreprises locales soient associées à l’exécution des travaux.
Il a également émis le vœu que d’autres agences de la BEAC soient réalisées dans d’autres préfectures de la République Centrafricaine en vue de contribuer à la relance des activités économiques du pays.
Le Président de la délégation spéciale de la ville de Bangui Jean Barkes Ngombé Ketté s’est également félicité du projet qui fait de la capitale « une ville en chantier, une ville qui bouge positivement » et dont « le visage architecturale » sera modifié à la satisfaction générale de la population, avec la réalisation de cet immeuble.
« Ne faites rien qui puisse un instant retarder l’exécution de ces travaux. (…) Vous devez jouer au gendarme pour protéger les matériaux de construction qui seront stockés ici », a-t-il lancé à l’endroit des jeunes du 4ème arrondissement de Bangui, arrondissement le plus proche du site.
Signalons que à l’encontre du premier siège de la BEAC inauguré en 1979 basé au centre ville, le futur immeuble se situe sur l’avenue de l’Indépendance à côté du Palis de l’Assemblée nationale dans le 4ème arrondissement de Bangui.
Le lancement des travaux de ce futur immeuble de la BEAC de Bangui, intervient après ceux de Malabo en Guinée Equatoriale et de Libreville au Gabon.
La tour elle-même sera composé d’un sous-sol qui abritera le parking des cadres de la banque centrale, d’un rez-de-chaussée comportant les services de comptabilité, d’informatique, des systèmes et moyens de paiement, d’émission monétaire et d’un amphithéâtre pouvant contenir 250 personnes.
Du premier au sixième étage sont logés des appartements, studios de passage et salons de réception, tandis que le septième est réservé aux différents services du Directeur national, et les dixième et onzième à la salle du conseil d’administration, aux bureaux et au salon du Gouverneur, aux administrateurs et hôtes de marque de la banque, le tout relié par une batterie d’ascenseurs situés au milieu de la tour.
Sur le plan extérieur, il est prévu une clôture en grille de trois mètres à la façade et un mur de béton sur les autres côtés.
Par ailleurs, la conception et la réalisation sont à l’actif du cabinet d’architecture français ATAUB ayant déjà réalisé plusieurs travaux de la banque centrale dont le siège central de Yaoundé au Cameroun, la direction nationale de Ndjaména au Tchad et celle en cours d’achèvement de Libreville au Gabon, les immeubles de Franceville (Gabon), de Berbérati (Centrafrique) et de Ouessé (Congo).
Selon le Gouverneur de la BEAC Philibert Andzémbé, la construction de cet immeuble répond à la fois au souci de modernisation des installations de la banque et à celui de la fonctionnalité harmonieuse de travail du personnel.
« Je voudrais vous rassurer que tout sera mis en œuvre pour que l’image, son allure, la noblesse des matériaux et la décoration inspirent à la fois le respect, la sécurité et la beauté afin de refléter l’image de la banque centrale et de donner ainsi un cachet particulier à l’urbanisation de la ville de Bangui la coquette », a-t-il promis.
Pour Philibert Andzémbé, la réalisation d’un nouvel immeuble pour la direction nationale de Centrafrique est le signe de l’accroissement des activités de la banque centrale dans ce pays, dans l’esprit des réformes engagées par cette institution sous-régionale.
« Ces réformes visent en priorité l’efficacité de la politique monétaire à améliorer les dispositifs de surveillance des système et moyen de paiement, surtout depuis la mise en vigueur des mécanismes de règlement de gros montants », a-t-il précisé.
Le ministre des Finances et du budget Albert Besse s’est pour sa part réjoui de l’initiative de la banque centrale et a souhaité que des entreprises locales soient associées à l’exécution des travaux.
Il a également émis le vœu que d’autres agences de la BEAC soient réalisées dans d’autres préfectures de la République Centrafricaine en vue de contribuer à la relance des activités économiques du pays.
Le Président de la délégation spéciale de la ville de Bangui Jean Barkes Ngombé Ketté s’est également félicité du projet qui fait de la capitale « une ville en chantier, une ville qui bouge positivement » et dont « le visage architecturale » sera modifié à la satisfaction générale de la population, avec la réalisation de cet immeuble.
« Ne faites rien qui puisse un instant retarder l’exécution de ces travaux. (…) Vous devez jouer au gendarme pour protéger les matériaux de construction qui seront stockés ici », a-t-il lancé à l’endroit des jeunes du 4ème arrondissement de Bangui, arrondissement le plus proche du site.
Signalons que à l’encontre du premier siège de la BEAC inauguré en 1979 basé au centre ville, le futur immeuble se situe sur l’avenue de l’Indépendance à côté du Palis de l’Assemblée nationale dans le 4ème arrondissement de Bangui.
Le lancement des travaux de ce futur immeuble de la BEAC de Bangui, intervient après ceux de Malabo en Guinée Equatoriale et de Libreville au Gabon.