Entièrement financé par l’OAPI, ce bâtiment occupe une superficie de 537 mètres carrés, répartis sur deux niveaux : le rez-de-chaussée et d’un étage comportant une salle de conférence, une bibliothèque, une salle d’informatique, une salle de réunion, 5 bureaux et une guérite. Les travaux ont été réalisés par l’entreprise Cambuild, le contrôle technique a été assuré par l’entreprise Apave.
La ministre Marlyn Mouliom Roosalem a présenté en cette circonstance inaugurale les quelques lignes d’actions engagées par le gouvernement centrafricain pour promouvoir la propriété intellectuelle en République Centrafricaine, entre autres, une coopération active avec l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI), l’institutionnalisation du salon national de l’invention de l’innovation technologique, la mise en place d’un conseil national de la propriété intellectuelle en charge de l’élaboration d’un plan national de développement de la propriété intellectuelle.
Elle a encouragé les opérateurs économiques centrafricains, les industriels, à travailler en synergie les chercheurs, les inventeurs pour produire les produits locaux afin de mettre en valeur le génie centrafricain.
« L’avenir de la jeunesse centrafricaine ne peut être assurée que par la création, par la promotion et le développement du secteur privé productif », a poursuivi la ministre du Commerce et de l’Industrie.
Le Directeur Général de l’OAPI, Paulin Edou Edou, a pour sa part précisé que l’OAPI vient d’accomplir sa mission en mettant à la disposition des chercheurs et étudiants centrafricains un précieux outil de développement de leurs activités.
« Le Centre constitue un outil important de soutien à la recherche scientifique et à l’innovation technologique en Centrafrique, condition si ne qua non d’une recherche digne bien orientée bien ciblée en phase avec les besoins et les préoccupations du pays », a-t-il ajouté.
M. Paulin Edou Edou a exhorté les industriels, les artisans, les chercheurs, les enseignants, inventeurs et les innovateurs centrafricains à en tirer profit pour faire prospérer leurs activités et contribuer ainsi à l’essor économique et social de la Centrafrique.
Signé le 13 septembre 1962 à Libreville au Gabon entre 12 chefs d’Etat et du gouvernement, l’accord portant création de l’Office Africain et Malgache de la Propriété Industrielle (OAMPI), cet accord est révisé à Bangui en Centrafrique le 2 mars 1977 pour donner naissance à l’Organisation Africaine de la propriété Intellectuelle (OAPI) qui compte 16 Etats membres.
Cette organisation africaine dont la direction générale se trouve à Yaoundé au Cameroun, a pour mission, entre autres, d’assurer la protection et la publication des titres de propriété industrielle ; d’encourager la créativité et le transfert de technologie par l’utilisation des systèmes de propriété industrielle (…)créer les conditions favorables à la valorisation des résultats de la recherche et à l’exploitation des innovations technologiques par les entreprises nationales.
Notons que l’inauguration du Centre de Documentation de la Propriété Intellectuelle coïncide avec la célébration de la Journée Africaine de la technologie et de la propriété intellectuelle’’ célébrée le 13 septembre de chaque année dont le thème retenu pour cette année est « la technologie et la propriété intellectuelle comme sources de création de richesses ».
La ministre Marlyn Mouliom Roosalem a présenté en cette circonstance inaugurale les quelques lignes d’actions engagées par le gouvernement centrafricain pour promouvoir la propriété intellectuelle en République Centrafricaine, entre autres, une coopération active avec l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI), l’institutionnalisation du salon national de l’invention de l’innovation technologique, la mise en place d’un conseil national de la propriété intellectuelle en charge de l’élaboration d’un plan national de développement de la propriété intellectuelle.
Elle a encouragé les opérateurs économiques centrafricains, les industriels, à travailler en synergie les chercheurs, les inventeurs pour produire les produits locaux afin de mettre en valeur le génie centrafricain.
« L’avenir de la jeunesse centrafricaine ne peut être assurée que par la création, par la promotion et le développement du secteur privé productif », a poursuivi la ministre du Commerce et de l’Industrie.
Le Directeur Général de l’OAPI, Paulin Edou Edou, a pour sa part précisé que l’OAPI vient d’accomplir sa mission en mettant à la disposition des chercheurs et étudiants centrafricains un précieux outil de développement de leurs activités.
« Le Centre constitue un outil important de soutien à la recherche scientifique et à l’innovation technologique en Centrafrique, condition si ne qua non d’une recherche digne bien orientée bien ciblée en phase avec les besoins et les préoccupations du pays », a-t-il ajouté.
M. Paulin Edou Edou a exhorté les industriels, les artisans, les chercheurs, les enseignants, inventeurs et les innovateurs centrafricains à en tirer profit pour faire prospérer leurs activités et contribuer ainsi à l’essor économique et social de la Centrafrique.
Signé le 13 septembre 1962 à Libreville au Gabon entre 12 chefs d’Etat et du gouvernement, l’accord portant création de l’Office Africain et Malgache de la Propriété Industrielle (OAMPI), cet accord est révisé à Bangui en Centrafrique le 2 mars 1977 pour donner naissance à l’Organisation Africaine de la propriété Intellectuelle (OAPI) qui compte 16 Etats membres.
Cette organisation africaine dont la direction générale se trouve à Yaoundé au Cameroun, a pour mission, entre autres, d’assurer la protection et la publication des titres de propriété industrielle ; d’encourager la créativité et le transfert de technologie par l’utilisation des systèmes de propriété industrielle (…)créer les conditions favorables à la valorisation des résultats de la recherche et à l’exploitation des innovations technologiques par les entreprises nationales.
Notons que l’inauguration du Centre de Documentation de la Propriété Intellectuelle coïncide avec la célébration de la Journée Africaine de la technologie et de la propriété intellectuelle’’ célébrée le 13 septembre de chaque année dont le thème retenu pour cette année est « la technologie et la propriété intellectuelle comme sources de création de richesses ».