Cette mesure fait suite à l’augmentation désordonnée du prix des produits de première nécessité observée depuis l’ajustement du prix des produits pétroliers en janvier dernier et qui a eu pour conséquence la cherté de la vie. Vu la gravité de la flambée des prix de produits de première nécessité actuellement en cours et qui porte atteinte à la paix sociale et à la cohésion nationale.
L’article premier de cet arrêté stipule qu’ « en application des dispositions de l’article 2 de la loi numéro 92.002 du 26 mai 1992, les prix des produits de première nécessité énumérés – sont bloqués-, toutes taxes comprises, pour une durée de six mois.
Les produits concernés par cette mesure sont : le savon fabriqué par les sociétés HUSACA et SAVEX, l’huile végétale; le sucre ; le lait en poudre ou concentré de marque Nido.
Il faut rappeler qu’au départ de la surenchère en matière de prix, une boîte d’allumette était vendue à 35 francs au lieu de 25 francs antérieurement.
En outre, le morceau de savon coûtait 200 francs voire même 250 francs au lieu du prix officiel qui est de 125 francs.
Si la Ministre du Commerce est parvenu à une telle disposition concernant les prix, Mme Grékara Augustine, commerçante au Marché central de Bangui estime pour sa part que « le département du Commerce veille sur ces prix par un contrôle sans relâche. Sans quoi, c’est le panier de la ménagère qui continuera de prendre des coups ».
Rappelons que l’augmentation l‘ajustement du prix des produits pétroliers étaient seulement de 30 francs par litre d’hydrocarbure.
L’article premier de cet arrêté stipule qu’ « en application des dispositions de l’article 2 de la loi numéro 92.002 du 26 mai 1992, les prix des produits de première nécessité énumérés – sont bloqués-, toutes taxes comprises, pour une durée de six mois.
Les produits concernés par cette mesure sont : le savon fabriqué par les sociétés HUSACA et SAVEX, l’huile végétale; le sucre ; le lait en poudre ou concentré de marque Nido.
Il faut rappeler qu’au départ de la surenchère en matière de prix, une boîte d’allumette était vendue à 35 francs au lieu de 25 francs antérieurement.
En outre, le morceau de savon coûtait 200 francs voire même 250 francs au lieu du prix officiel qui est de 125 francs.
Si la Ministre du Commerce est parvenu à une telle disposition concernant les prix, Mme Grékara Augustine, commerçante au Marché central de Bangui estime pour sa part que « le département du Commerce veille sur ces prix par un contrôle sans relâche. Sans quoi, c’est le panier de la ménagère qui continuera de prendre des coups ».
Rappelons que l’augmentation l‘ajustement du prix des produits pétroliers étaient seulement de 30 francs par litre d’hydrocarbure.