« Ces dettes sont d’une valeur de 7 milliards Fcfa échelonnés sur 40 ans avec 16 ans de délai de grâce, le temps que l’économie centrafricaine se consolide avant de commencer le remboursement », a indiqué le ministre des Finances et du Budget, Albert Besse.
Selon lui, la décision du Fonds saoudien pour le développement de rééchelonner les dettes centrafricaines « consacre le retour de confiance entre les investisseurs et le gouvernement centrafricain, grâce aux différentes réformes entreprises au niveau des finances ».
Il a indiqué que le rééchelonnement des dettes centrafricaines va permettre au Fonds saoudien pour le développement d’engager de nouveaux investissements en République Centrafricaine pour appuyer les projets de développement dans le cadre du Document de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP).
Le Directeur général adjoint du Fonds saoudien pour le développement, M. Abdurahman A. Aloraini s’est lui aussi réjoui des avancées constatées en matière de bonne gouvernance et s’est félicité de la reprise de la coopération entre son institution et le gouvernement centrafricain.
Il convient de rappeler que le Fonds saoudien pour le développement a fait de grands investissements en République Centrafricaine dans les années 1985, 1986 et 1987 pour appuyer la construction de l'aéroport, de la sucrerie et de l’agriculture.
Selon lui, la décision du Fonds saoudien pour le développement de rééchelonner les dettes centrafricaines « consacre le retour de confiance entre les investisseurs et le gouvernement centrafricain, grâce aux différentes réformes entreprises au niveau des finances ».
Il a indiqué que le rééchelonnement des dettes centrafricaines va permettre au Fonds saoudien pour le développement d’engager de nouveaux investissements en République Centrafricaine pour appuyer les projets de développement dans le cadre du Document de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP).
Le Directeur général adjoint du Fonds saoudien pour le développement, M. Abdurahman A. Aloraini s’est lui aussi réjoui des avancées constatées en matière de bonne gouvernance et s’est félicité de la reprise de la coopération entre son institution et le gouvernement centrafricain.
Il convient de rappeler que le Fonds saoudien pour le développement a fait de grands investissements en République Centrafricaine dans les années 1985, 1986 et 1987 pour appuyer la construction de l'aéroport, de la sucrerie et de l’agriculture.