L’objectif de ce débat sur « la propriété intellectuelle dans la politique et programme de développement » auquel quelques membres du gouvernement ont été conduits par Mme Marlyn Mouliom Roosalem, Ministre du Commerce et de l’Industrie, était de sensibiliser les décideurs, chercheurs et inventeurs sur l’importance de la propriété intellectuelle dans le développement des pays.
M. Paulin Edou Edou a fait savoir que la propriété intellectuelle est un déclic pour le développement des pays. L’exemple le plus illustratif qu’il a présenté est celui de la Chine.
Suivant la classification qu’il a établie, il y a d’une part la propriété littéraire et artistique (concernant la musique, les livres, le cinéma) et d’autre part la propriété industrielle (relative aux brevets d’invention, au dessin ou à un produit industriel).
Ce qui compte, a souligné Edou Edou, est la protection de toutes ces inventions, par un brevet, surtout qu’un produit, qui se distingue d’un autre par sa marque et son nom, intéresse le commerce. Autrement dit, la propriété intellectuelle permet la mise en place d’un outil local de développement.
Le directeur général de l’OAPI a cité Venise en Italie, l’Angleterre, la France et les Etats-Unis comme étant des pays qui ont compris l’importance de la propriété intellectuelle et y ont consacré des lois. Le Japon, la Coré et surtout la Chine se sont inspirés de ces initiatives.
Paulin Edou Edou a expliqué le rebond économique chinois par l’importance des brevets et l’exploitation au maximum des brevets tombés dans le domaine public. C’est donc l’exploitation de ce second volet des brevets qui fait dire à certaines personnes que la Chine pratique la contrefaçon. Or, il n’en est pas le cas.
Rappelons que les différentes activités planifiées du 13 au 15 septembre 2011 s’inscrivent dans le cadre de la journée africaine de la technologie et de la propriété intellectuelle. C’est ainsi qu’une marche en faveur de la propriété intellectuelle a permis à quelques 500 personnes de sillonner les artères de la ville de Bangui. Le point de chute a été le stade 20.000 places où ont été exposés les objets de création par des Centrafricains.
M. Paulin Edou Edou a fait savoir que la propriété intellectuelle est un déclic pour le développement des pays. L’exemple le plus illustratif qu’il a présenté est celui de la Chine.
Suivant la classification qu’il a établie, il y a d’une part la propriété littéraire et artistique (concernant la musique, les livres, le cinéma) et d’autre part la propriété industrielle (relative aux brevets d’invention, au dessin ou à un produit industriel).
Ce qui compte, a souligné Edou Edou, est la protection de toutes ces inventions, par un brevet, surtout qu’un produit, qui se distingue d’un autre par sa marque et son nom, intéresse le commerce. Autrement dit, la propriété intellectuelle permet la mise en place d’un outil local de développement.
Le directeur général de l’OAPI a cité Venise en Italie, l’Angleterre, la France et les Etats-Unis comme étant des pays qui ont compris l’importance de la propriété intellectuelle et y ont consacré des lois. Le Japon, la Coré et surtout la Chine se sont inspirés de ces initiatives.
Paulin Edou Edou a expliqué le rebond économique chinois par l’importance des brevets et l’exploitation au maximum des brevets tombés dans le domaine public. C’est donc l’exploitation de ce second volet des brevets qui fait dire à certaines personnes que la Chine pratique la contrefaçon. Or, il n’en est pas le cas.
Rappelons que les différentes activités planifiées du 13 au 15 septembre 2011 s’inscrivent dans le cadre de la journée africaine de la technologie et de la propriété intellectuelle. C’est ainsi qu’une marche en faveur de la propriété intellectuelle a permis à quelques 500 personnes de sillonner les artères de la ville de Bangui. Le point de chute a été le stade 20.000 places où ont été exposés les objets de création par des Centrafricains.