Organisée par la Société centrafricaine de biochimie moléculaire (SCBM) et l’Université de Bangui, cette conférence marque la fin des activités de la PCST 2008, conduite par une équipes de 7 chercheurs sur le thème « la diversité biologique et les changements climatiques ».
Selon le responsable du laboratoire Boussingault et parrain de la PCST, le Professeur Silla Semballa, ce thème a été choisi pour permettre de sensibiliser la population sur la nécessité de sauvegarder la diversité biologique et l’importance de la lutte contre les changements climatiques.
« La biodiversité désigne l’ensemble des espèces végétales, animales et des microorganismes existants. C’est l’ensemble des différentes formes de vie et leurs interactions entre elles ainsi qu’avec le milieu physique, qui ont rendu la terre habitable », a-t-il déclaré définissant la notion.
Pour le Professeur Silla Semballa, la diversité biologique doit retenir l’attention de toutes les couches sociales. Parce que, a-t-il fait remarquer, « la biodiversité fournit les éléments essentiels à la vie (aliments, eau, air, etc.), protège contre les catastrophes naturelles et les maladies et fonde les cultures humaines ».
Il a également souligné que la diversité biologique est un élément essentiel de la lutte contre la pauvreté et indispensable dans la quête de l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD).
Mais, a-t-il déploré, « les pressions exercées par les êtres humains sur les milieux naturels entraînent un appauvrissement et une perte de la diversité biologique à un rythme sans précédent », ce qui provoque les changements climatiques.
Il a expliqué que les changements climatiques sont causés par les émissions des gaz à effet de serre provenant des activités de l’Homme, telles que l’utilisation des hydrocarbures dans les industries, la destruction des forêts à cause de l’agriculture et la dégradation des habitats naturels qui augmentent la température à la surface de la terre.
« Les modèles informatisés prédisent une augmentation moyenne de la température mondiale de 1,4 à 5,8°C d’ici l’année 2100. Les conséquences prévues seraient entre l’augmentation du niveau moyen des océan à 88cm, la réduction des précipitations en Afrique entraînant une probabilité accrue de sècheresse, l’augmentation des manifestation climatiques extrêmes et un éventail de certaines malades à transmission vectorielle », a cité le ¨Professeur Semballa.
C’est pourquoi la PCST 2008 s’est donnée la mission de sensibiliser et d’informer les populations sur la destruction anarchique de l’environnement et les effets néfastes des changements climatiques.
Selon lui, les preuves des changements climatiques ressentis en République Centrafricaine sont les pluies diluviennes suivies d’inondations, d’érosions, de sécheresse et de glissements de terrain.
Il convient de signaler que la PCST a vu le jour à l’Université de Bangui en 2005 grâce à l’appui du ministère français des Affaires Etrangères. Chaque année une équipe de chercheurs est mise en place avec un thème pouvant contribuer à la vulgarisation des fruits de la recherche scientifique et technique.
Pour l’année 2008, le thème de la biodiversité et les changements climatiques ont fait l’objet de plusieurs campagnes de sensibilisation dans les établissements scolaires et universitaires ainsi que dans des villages.
Selon le responsable du laboratoire Boussingault et parrain de la PCST, le Professeur Silla Semballa, ce thème a été choisi pour permettre de sensibiliser la population sur la nécessité de sauvegarder la diversité biologique et l’importance de la lutte contre les changements climatiques.
« La biodiversité désigne l’ensemble des espèces végétales, animales et des microorganismes existants. C’est l’ensemble des différentes formes de vie et leurs interactions entre elles ainsi qu’avec le milieu physique, qui ont rendu la terre habitable », a-t-il déclaré définissant la notion.
Pour le Professeur Silla Semballa, la diversité biologique doit retenir l’attention de toutes les couches sociales. Parce que, a-t-il fait remarquer, « la biodiversité fournit les éléments essentiels à la vie (aliments, eau, air, etc.), protège contre les catastrophes naturelles et les maladies et fonde les cultures humaines ».
Il a également souligné que la diversité biologique est un élément essentiel de la lutte contre la pauvreté et indispensable dans la quête de l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD).
Mais, a-t-il déploré, « les pressions exercées par les êtres humains sur les milieux naturels entraînent un appauvrissement et une perte de la diversité biologique à un rythme sans précédent », ce qui provoque les changements climatiques.
Il a expliqué que les changements climatiques sont causés par les émissions des gaz à effet de serre provenant des activités de l’Homme, telles que l’utilisation des hydrocarbures dans les industries, la destruction des forêts à cause de l’agriculture et la dégradation des habitats naturels qui augmentent la température à la surface de la terre.
« Les modèles informatisés prédisent une augmentation moyenne de la température mondiale de 1,4 à 5,8°C d’ici l’année 2100. Les conséquences prévues seraient entre l’augmentation du niveau moyen des océan à 88cm, la réduction des précipitations en Afrique entraînant une probabilité accrue de sècheresse, l’augmentation des manifestation climatiques extrêmes et un éventail de certaines malades à transmission vectorielle », a cité le ¨Professeur Semballa.
C’est pourquoi la PCST 2008 s’est donnée la mission de sensibiliser et d’informer les populations sur la destruction anarchique de l’environnement et les effets néfastes des changements climatiques.
Selon lui, les preuves des changements climatiques ressentis en République Centrafricaine sont les pluies diluviennes suivies d’inondations, d’érosions, de sécheresse et de glissements de terrain.
Il convient de signaler que la PCST a vu le jour à l’Université de Bangui en 2005 grâce à l’appui du ministère français des Affaires Etrangères. Chaque année une équipe de chercheurs est mise en place avec un thème pouvant contribuer à la vulgarisation des fruits de la recherche scientifique et technique.
Pour l’année 2008, le thème de la biodiversité et les changements climatiques ont fait l’objet de plusieurs campagnes de sensibilisation dans les établissements scolaires et universitaires ainsi que dans des villages.