En présence de Henri Pascal Bolanga, conseiller en communication du président de la République, et du directeur de l’Ecole Nationale des Arts, M. Saturnin Ngouka. le président de l'UMCA a indiqué que « l’objet dudit projet est l’organisation de deux concours de chanson sur les thèmes : « paix , unité et développement » en rapport avec le cinquantenaire de la proclamation de la République, le 1er décembre 2009) et « la consolidation de la paix en Centrafrique », en commémoration du premier anniversaire du Dialogue politique inclusif(DPI) ».
« La filière musicale centrafricaine traverse une crise depuis plus de vinq cinq ans », a rappelé M. José Ngoita, précisant que cette crise est caractérisée entre autres par "le non paiement des droits d’auteurs et de nombreux titres de l’ UMC qui s’évaluent à 12 millions de francs CFA, la spoliation permanente des droits des musiciens par les nombreux usagers et principalement par les institutions d’Etat que sont la radio et la télévision ainsi que les radios privées, l’absence du statut social du musicien, les cachets minables que paient les entreprises et les institutions tant locales qu’internationales ainsi que les comités d’organisation des manifestations nationales qui exploitent la misère des artistes.
Il a ensuite souligné la discorde entre les autorités politico-administratives suite à la non participation de l’orchestre centrafricain « Zokela Cenza » au Festival Panafricain de la Musique (FESPAM), à Brazzaville.
« C’est ce qui a justifié la revendication des artistes marquée par l’interdiction de diffusion des chansons d’auteurs centrafricains sur toute l’étendue du territoire, le 21 juin 2007 », a expliqué le président Ngoita.
« Malgré cette crise, a-t-il relevé, les artistes musiciens ont continué à participer d’une manière significative aux évènements et manifestations nationaux comme la sensibilisation, la formation et la vulgarisation des valeurs positives, le travail, l'unité, la paix, la réconciliation, le dialogue, l’apport de la Centrafrique à la diversité culturelle et la campagne marketing des entreprises de la place.
Il a émis le vœu de rencontrer le chef de l’ Etat au prochain méga concert qui aura lieu au Complexe sportif Barthélemy Boganda.
Il a ensuite invité les autorités politiques et les partenaires à soutenir matériellement et financièrement le projet en vue d'un aboutissement heureux.
Il convient de signaler que le lancement de ce projet intervient é Mois après la mise en place du nouveau bureau de l’UMC, le 15 juin 2009.
« La filière musicale centrafricaine traverse une crise depuis plus de vinq cinq ans », a rappelé M. José Ngoita, précisant que cette crise est caractérisée entre autres par "le non paiement des droits d’auteurs et de nombreux titres de l’ UMC qui s’évaluent à 12 millions de francs CFA, la spoliation permanente des droits des musiciens par les nombreux usagers et principalement par les institutions d’Etat que sont la radio et la télévision ainsi que les radios privées, l’absence du statut social du musicien, les cachets minables que paient les entreprises et les institutions tant locales qu’internationales ainsi que les comités d’organisation des manifestations nationales qui exploitent la misère des artistes.
Il a ensuite souligné la discorde entre les autorités politico-administratives suite à la non participation de l’orchestre centrafricain « Zokela Cenza » au Festival Panafricain de la Musique (FESPAM), à Brazzaville.
« C’est ce qui a justifié la revendication des artistes marquée par l’interdiction de diffusion des chansons d’auteurs centrafricains sur toute l’étendue du territoire, le 21 juin 2007 », a expliqué le président Ngoita.
« Malgré cette crise, a-t-il relevé, les artistes musiciens ont continué à participer d’une manière significative aux évènements et manifestations nationaux comme la sensibilisation, la formation et la vulgarisation des valeurs positives, le travail, l'unité, la paix, la réconciliation, le dialogue, l’apport de la Centrafrique à la diversité culturelle et la campagne marketing des entreprises de la place.
Il a émis le vœu de rencontrer le chef de l’ Etat au prochain méga concert qui aura lieu au Complexe sportif Barthélemy Boganda.
Il a ensuite invité les autorités politiques et les partenaires à soutenir matériellement et financièrement le projet en vue d'un aboutissement heureux.
Il convient de signaler que le lancement de ce projet intervient é Mois après la mise en place du nouveau bureau de l’UMC, le 15 juin 2009.