Le représentant de l'Unicef lors de la conférence de presse, Photo-ACAP/Biongo
Selon M. Mahimba Ndoe, cette étude a pour objectifs d’identifier les connaissances, attitudes et pratiques pouvant permettre d’éviter les maladies liées au manque ou à la mauvaise pratique de l’allaitement maternel exclusif, à l’inobservation des règles élémentaires d’hygiène, notamment le lavage des mains et à la non utilisation des moustiquaires dont l’incident est grande sur la mortalité des enfants.
Il a expliqué que, l’enquête CAP permettrait de connaître les préoccupations des populations dans chacune des thématiques d’identifier les principales sources d’information des communautés, en vue de la mise en place d’un plan de communication pour le développement.
Mahimba Ndoe a fait remarquer que enquête CAP a été initiée pour apporter une solution adéquate aux problèmes de santé et de mortalité des enfants et des femmes enceintes liées à ces pratiques.
L’enquête se déroulera à Bangui et dans certaines préfectures du pays, notamment, la Mambéré Kadéi, la Lobaye, l’Ouham, la Ouaka et le Mbomou, qui selon les initiateurs « est un ensemble d’aires pouvant partager globalement les mêmes habitudes culturelles, traditionnelles et religieuses, les mêmes vécus ou les mêmes influences géographiques ou socioéconomiques ».
La conduite de cette étude qui va durer quatre mois est confiée au Docteur Samuel Nouétagni, Consultant international assisté de neuf consultants nationaux.
Il convient de signaler qu’une autre équipe d’expert sera mise en place pour étudier les résultats de l’enquête CAP avant de concevoir plan de communication pour un programme de sensibilisation sur le changement de comportement.
Il a expliqué que, l’enquête CAP permettrait de connaître les préoccupations des populations dans chacune des thématiques d’identifier les principales sources d’information des communautés, en vue de la mise en place d’un plan de communication pour le développement.
Mahimba Ndoe a fait remarquer que enquête CAP a été initiée pour apporter une solution adéquate aux problèmes de santé et de mortalité des enfants et des femmes enceintes liées à ces pratiques.
L’enquête se déroulera à Bangui et dans certaines préfectures du pays, notamment, la Mambéré Kadéi, la Lobaye, l’Ouham, la Ouaka et le Mbomou, qui selon les initiateurs « est un ensemble d’aires pouvant partager globalement les mêmes habitudes culturelles, traditionnelles et religieuses, les mêmes vécus ou les mêmes influences géographiques ou socioéconomiques ».
La conduite de cette étude qui va durer quatre mois est confiée au Docteur Samuel Nouétagni, Consultant international assisté de neuf consultants nationaux.
Il convient de signaler qu’une autre équipe d’expert sera mise en place pour étudier les résultats de l’enquête CAP avant de concevoir plan de communication pour un programme de sensibilisation sur le changement de comportement.
