Cette conférence de presse avait pour but d’édifier l’opinion publique sur le bien-fondé de la décision du gouvernement consistant à suspendre l’exercice des conseils d’administration des sociétés d’Etat et offices publics et la gestion de ces entités un conseil spécial de surveillance et de redressement, institué par décret présidentiel du6 février 2012.
A ce jour, quelque 22 sociétés d’Etat et offices publics sont passés devant le conseil spécial de surveillance et de redressement, et le constat est alarmants, s’est exclamé le Ministre de la Justice. Il a parlé de « gabegie, de corruption, de détournement systématique organisés des fonds publics ».
Quelques cas pratiques mentionnés par Firmin Féïndiro concernent le doublement des salaires des cadres des ces institutions, ainsi que ceux des membres des conseils d’administration ; la surfacturation ; les lignes de dépense à la moralité douteuse, comme par exemple l’achat des pneus, des ordinateurs qui reviennent tous les mois, les caisses d’avances que certains dirigeants s’attribuent et les appuis institutionnels au Ministères de tutelle, quand bien même le fonctionnement ces départements figurent en bonne place dans le budget national.
La durée du mandat du conseil spécial de surveillance et de redressement est très réduite. Ce conseil, à qui le gouvernement a exigé la production d’un rapport à l’intention du grand public tous les six mois, a reçu la mission d’insuffler des réformes et l’orthodoxie dans la gestion de toutes les sociétés d’Etat et offices publics, a précisé le Membre du gouvernement.
Dorénavant, les dirigeants des sociétés d’Etat et offices publics ont reçu devant le conseil spécial leurs nouvelles lettres de mission et quiconque déroge à la consigne sera poursuivi, y compris les complices », a prévenu Firmin Féïndiro.
Féïndiro de conclure : « n’eût été la dissolution des conseils d’administration, de nombreuses sociétés d’Etat et offices publics, fonctionnant par le passé à perte et sollicitant fréquemment le concours financier du gouvernement, auraient mis la clef sous le paillasson. Aujourd’hui, certaines de ces structures reprennent du poil de la bête, comme par exemple Centrapalm (la Centrafricaine des palmiers), chargée de la production industrielle de l’huile de palme, et SOCATEL (la Société Centrafricaine des Télécommunications ».
A ce jour, quelque 22 sociétés d’Etat et offices publics sont passés devant le conseil spécial de surveillance et de redressement, et le constat est alarmants, s’est exclamé le Ministre de la Justice. Il a parlé de « gabegie, de corruption, de détournement systématique organisés des fonds publics ».
Quelques cas pratiques mentionnés par Firmin Féïndiro concernent le doublement des salaires des cadres des ces institutions, ainsi que ceux des membres des conseils d’administration ; la surfacturation ; les lignes de dépense à la moralité douteuse, comme par exemple l’achat des pneus, des ordinateurs qui reviennent tous les mois, les caisses d’avances que certains dirigeants s’attribuent et les appuis institutionnels au Ministères de tutelle, quand bien même le fonctionnement ces départements figurent en bonne place dans le budget national.
La durée du mandat du conseil spécial de surveillance et de redressement est très réduite. Ce conseil, à qui le gouvernement a exigé la production d’un rapport à l’intention du grand public tous les six mois, a reçu la mission d’insuffler des réformes et l’orthodoxie dans la gestion de toutes les sociétés d’Etat et offices publics, a précisé le Membre du gouvernement.
Dorénavant, les dirigeants des sociétés d’Etat et offices publics ont reçu devant le conseil spécial leurs nouvelles lettres de mission et quiconque déroge à la consigne sera poursuivi, y compris les complices », a prévenu Firmin Féïndiro.
Féïndiro de conclure : « n’eût été la dissolution des conseils d’administration, de nombreuses sociétés d’Etat et offices publics, fonctionnant par le passé à perte et sollicitant fréquemment le concours financier du gouvernement, auraient mis la clef sous le paillasson. Aujourd’hui, certaines de ces structures reprennent du poil de la bête, comme par exemple Centrapalm (la Centrafricaine des palmiers), chargée de la production industrielle de l’huile de palme, et SOCATEL (la Société Centrafricaine des Télécommunications ».