Le ministre délégué aux Finances et au Budget, chargé de la Mobilisation des Ressources, M. Abdallah Kadre, a déclaré que « le réseau crédit mutuel de Centrafrique mis en place par le gouvernement pour promouvoir les petites et moyennes entreprises avec l’appui de l’Alliance française pour le développement (AFD), la mise en place du programme d’appui à l’émergence d’un secteur financier inclusif, l’informatisation du Cmca et la création de deux caisses du 4ème arrondissement et de Petevo sont la preuve tangible de la préoccupation majeure du gouvernement dans le secteur ».
« Cependant le gouvernement demeure inquiet face à la faible implication des administrateurs dans la gestion de ce réseau, comme prévoient les principes mutualistes et coopératifs, recrutement des hautes instances dirigeantes, élaboration et adoption du plan de développement du réseau communication des états financiers et l’organe de régulation », a évoqué le ministre délégué aux Finances et au Budget.
Il a enfin invité le programme d’appui à l’émergence d’un secteur financier inclusif à intensifier la formation des élus pour instaurer l’appropriation de leur caisse afin qu’ils puissent tirer profit de la stratégie nationale de micro finance que le gouvernement va bientôt adopter.
« Le gouvernement centrafricain a conscience que le secteur de la micro finance, dont le Cmca est actuellement le fer de lance, est un élément essentiel de lutte contre la pauvreté et le développement économique de la République Centrafricaine », a souligné la présidente du conseil d’administration du Cmca, Mme Julienne Fiolenga.
Elle a par ailleurs ajouté que « c’est nécessaire pour créer un climat de confiance et inciter la population centrafricaine et plus particulièrement aujourd’hui celle de Petevo à rejoindre la famille du crédit mutuel ».
Notons que Mme Cluckers a réitéré l’engagement du Pnud à soutenir le programme d’appui à l’émergence d’un secteur financier inclusif pour la promotion du secteur et renforcer les capacités de ces agences à se hisser dans les normes internationales.
Il faut rappeler que le Cmca dénombre 12 points de vente sur Bangui et plus de 2900 sociétaires, près de 4 milliards F. CFA d’épargne gérés et accorde chaque année plus de 2600 crédits pour environ 2 milliards de FCFA, dont près de la moitié pour des montants inférieurs à 200.000 FCFA.
« Cependant le gouvernement demeure inquiet face à la faible implication des administrateurs dans la gestion de ce réseau, comme prévoient les principes mutualistes et coopératifs, recrutement des hautes instances dirigeantes, élaboration et adoption du plan de développement du réseau communication des états financiers et l’organe de régulation », a évoqué le ministre délégué aux Finances et au Budget.
Il a enfin invité le programme d’appui à l’émergence d’un secteur financier inclusif à intensifier la formation des élus pour instaurer l’appropriation de leur caisse afin qu’ils puissent tirer profit de la stratégie nationale de micro finance que le gouvernement va bientôt adopter.
« Le gouvernement centrafricain a conscience que le secteur de la micro finance, dont le Cmca est actuellement le fer de lance, est un élément essentiel de lutte contre la pauvreté et le développement économique de la République Centrafricaine », a souligné la présidente du conseil d’administration du Cmca, Mme Julienne Fiolenga.
Elle a par ailleurs ajouté que « c’est nécessaire pour créer un climat de confiance et inciter la population centrafricaine et plus particulièrement aujourd’hui celle de Petevo à rejoindre la famille du crédit mutuel ».
Notons que Mme Cluckers a réitéré l’engagement du Pnud à soutenir le programme d’appui à l’émergence d’un secteur financier inclusif pour la promotion du secteur et renforcer les capacités de ces agences à se hisser dans les normes internationales.
Il faut rappeler que le Cmca dénombre 12 points de vente sur Bangui et plus de 2900 sociétaires, près de 4 milliards F. CFA d’épargne gérés et accorde chaque année plus de 2600 crédits pour environ 2 milliards de FCFA, dont près de la moitié pour des montants inférieurs à 200.000 FCFA.