La première convention, portant sur des Travaux à Haute Intensité de Main d’œuvre (THIMO IV) de la ville de Bangui, s’inscrit dans une lignée de projets urbains financés par la France depuis deux décennies et va concerner l’assainissement du bassin hydrographique du centre ville avec pour objectif de canaliser vers le fleuve Oubangui les eaux de pluies qui dévalent la colline du Bas Oubangui.
Le projet Thimo IV se traduira techniquement par la construction de près de 8 km de caniveaux en pierres maçonnées, le curage d’un linaire de 2,5 km de caniveaux existants et la reprise du revêtement de la chaussée le long de l’avenue de l’indépendance, à partir de la cathédrale jusqu’au port amont.
La seconde convention intitulée Fonds d’Etudes et de Reconstruction de Capacité (FERC) VII est destinée au financement d’études relatives aux projets soumis par le gouvernement centrafricain au financement de l’AFD ainsi qu’au financement de prestations d’assistance technique.
Il convient de noter que ces deux conventions viennent compléter le portefeuille de l’Agence Française de Développement en Centrafrique actuellement composé de neuf projets présentant un reste à verser de 16 milliards de francs CFA dans le secteur de l’énergie, de la santé, de la forêt et des infrastructures de transport.
Le projet Thimo IV se traduira techniquement par la construction de près de 8 km de caniveaux en pierres maçonnées, le curage d’un linaire de 2,5 km de caniveaux existants et la reprise du revêtement de la chaussée le long de l’avenue de l’indépendance, à partir de la cathédrale jusqu’au port amont.
La seconde convention intitulée Fonds d’Etudes et de Reconstruction de Capacité (FERC) VII est destinée au financement d’études relatives aux projets soumis par le gouvernement centrafricain au financement de l’AFD ainsi qu’au financement de prestations d’assistance technique.
Il convient de noter que ces deux conventions viennent compléter le portefeuille de l’Agence Française de Développement en Centrafrique actuellement composé de neuf projets présentant un reste à verser de 16 milliards de francs CFA dans le secteur de l’énergie, de la santé, de la forêt et des infrastructures de transport.