Après 3 jours de débats, les quatre vingt participants ont en effet recommandé la création d’un institut de renforcement des capacités en matière de formulation, négociation et mise en œuvre des politiques commerciales ainsi que la création d’une agence de coopération régionale pour le développement, la protection de l’environnement et la formation industrielle pour la valorisation des ressources naturelles.
Les parlementaires ont égalmeent souligné la nécessité de renforcer et d’approfondir l’intégration régionale en vue de faciliter la mise en œuvre de l’APE une fois signé ainsi que l’organisation trimestrielle et de façon rotative du séminaire à l’attention des parlementaires de la CEMAC en vue du suivi du dossier APE.
« l’Afrique Centrale doit se doter des expertises pointues en nombre et en qualité suffisante pour mieux défendre nos intérêts et lutter contre la pauvreté en utilisant efficacement la politique commerciale », a affirmé le président François Bozizé dans son message de clôture, délivré par le président de l'Assemblée Nationale centrafricaine, Leroy-Célestin Gaombalet.
Dans cette perspective, a-t-il ajouté, « je proposerai à mes pairs d’Afrique Centrale deux projets notamment, créer un institut de politique commerciale pour former nos cadres et assurer la conception des projets industriels et régionaux intégrateur et respectueux de l’environnement ; créer une agence de coopération régionale de développement chargé de valoriser les ressources naturelles que les pays de la sous région ont en partage ».
François Bozizé compte s'appuyer sur la troïka Cameroun, Centrafrique-Congo Brazzaville pour amener l'Afrique Centrale à s'exprimer d'une même voix dans les négociations commerciales, en particulier de l'APE.
Ouvert le 12 janvier dernier, le séminaire de Bangui avait pour but d’emmener les parlementaires du Cameroun, de la Centrafrique, des deux Congo, du Gabon, de la Guinée Equatoriale, de Sao Tome e Principe et du Tchad à s’impliquer dans le processus de négociation de l’APE
Les parlementaires ont égalmeent souligné la nécessité de renforcer et d’approfondir l’intégration régionale en vue de faciliter la mise en œuvre de l’APE une fois signé ainsi que l’organisation trimestrielle et de façon rotative du séminaire à l’attention des parlementaires de la CEMAC en vue du suivi du dossier APE.
« l’Afrique Centrale doit se doter des expertises pointues en nombre et en qualité suffisante pour mieux défendre nos intérêts et lutter contre la pauvreté en utilisant efficacement la politique commerciale », a affirmé le président François Bozizé dans son message de clôture, délivré par le président de l'Assemblée Nationale centrafricaine, Leroy-Célestin Gaombalet.
Dans cette perspective, a-t-il ajouté, « je proposerai à mes pairs d’Afrique Centrale deux projets notamment, créer un institut de politique commerciale pour former nos cadres et assurer la conception des projets industriels et régionaux intégrateur et respectueux de l’environnement ; créer une agence de coopération régionale de développement chargé de valoriser les ressources naturelles que les pays de la sous région ont en partage ».
François Bozizé compte s'appuyer sur la troïka Cameroun, Centrafrique-Congo Brazzaville pour amener l'Afrique Centrale à s'exprimer d'une même voix dans les négociations commerciales, en particulier de l'APE.
Ouvert le 12 janvier dernier, le séminaire de Bangui avait pour but d’emmener les parlementaires du Cameroun, de la Centrafrique, des deux Congo, du Gabon, de la Guinée Equatoriale, de Sao Tome e Principe et du Tchad à s’impliquer dans le processus de négociation de l’APE