
Les participants aux stages, Photo-ACAP/Soupou
Organisés par la direction de la gendarmerie nationale avec les concours technique et financier de la coopération militaire française et du BONUCA, ces stages visent à renforcer les qualités professionnelles, juridiques et techniques des chefs d’unité.
Le Colonel Mogoniako a, dans son discours de clôture, rappelé aux stagiaires le respect de l’éthique et de la déontologie, qui, selon lui, constitue le gage d’un professionnalisme dans l’exercice de la fonction de gendarme.
« Assurer la tranquillité et la liberté des personnes, garantir l’intégrité de leurs biens constituent la toile de fond sur laquelle s’inscrit l’action et le fonctionnement d’une brigade ou d’une unité de gendarmerie », a-t-il ajouté.
« La discipline, le respect des règles de droit, le civisme, doublé d’une disponibilité permanente feront de vous l’exemple idéal du gendarme », a conclu le Colonel Mogonioko.
Pour M. Gani du BONUCA, le gendarme doit gagner la confiance de la population et s’intégrer à elle.
« Mais cette confiance et cette intégration ne peuvent se réaliser que si les trois facteurs suivants sont réunis : le gendarme doit être perçu comme celui qui est tenu de respecter les lois, il ne doit pas donner l’impression d’être mêlé à la vie politique locale et il doit être considéré comme utile, voire indispensable à la sécurité de la population locale », a-t-il indiqué.
« Il est aussi astreint au respect des règlementations internationales telles que la Déclaration universelle de droits de l’Homme, la convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants et les conventions relatives aux conflits armés », a-t-il relevé.
Il convient de rappeler que cette série de formations s’est déroulée du 09 décembre 2008 au 25 janvier 2009 à l’Ecole de la Gendarmerie Nationale de Kolongo, à Bangui.
Le Colonel Mogoniako a, dans son discours de clôture, rappelé aux stagiaires le respect de l’éthique et de la déontologie, qui, selon lui, constitue le gage d’un professionnalisme dans l’exercice de la fonction de gendarme.
« Assurer la tranquillité et la liberté des personnes, garantir l’intégrité de leurs biens constituent la toile de fond sur laquelle s’inscrit l’action et le fonctionnement d’une brigade ou d’une unité de gendarmerie », a-t-il ajouté.
« La discipline, le respect des règles de droit, le civisme, doublé d’une disponibilité permanente feront de vous l’exemple idéal du gendarme », a conclu le Colonel Mogonioko.
Pour M. Gani du BONUCA, le gendarme doit gagner la confiance de la population et s’intégrer à elle.
« Mais cette confiance et cette intégration ne peuvent se réaliser que si les trois facteurs suivants sont réunis : le gendarme doit être perçu comme celui qui est tenu de respecter les lois, il ne doit pas donner l’impression d’être mêlé à la vie politique locale et il doit être considéré comme utile, voire indispensable à la sécurité de la population locale », a-t-il indiqué.
« Il est aussi astreint au respect des règlementations internationales telles que la Déclaration universelle de droits de l’Homme, la convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants et les conventions relatives aux conflits armés », a-t-il relevé.
Il convient de rappeler que cette série de formations s’est déroulée du 09 décembre 2008 au 25 janvier 2009 à l’Ecole de la Gendarmerie Nationale de Kolongo, à Bangui.