Une trentaine de professionnels des médias publics et privés prennent part à cet atelier dont l'’objectif est de les informaer afin qu'ils puissent à leur tour informer davantage la population centrafricaine sur le marché financier en Afrique centrale.
La formation est axée sur deux phases, dont la première est focalisée sur l’organisation du marché financier, le fonctionnement d’une bourse et l'organisation des échanges, l’introduction en bourse, les obligations d’information et l’égalité d’accès à l’information, les indices boursiers, les fondements de la régulation financière et la surveillance du marché financier.
La deuxième phase de cette formation sera centrée sur la communication financière, l’évaluation boursière et la réglementation du marché, la modernisation du mode de financement de l’Etat.
M. Alexandre Gandou a indiqué à l'ouverture de l'atelier que les missions assignées à la COSUMAF sont entre autres de protéger l’épargne investie en produits financiers, de veiller à l’information des investisseurs et enfin d’assurer le bon fonctionnement du marché financier et prévenir les risques symboliques.
Il a précisé que le total des fonds levés sur les marchés financiers de la CEMAC s’élève a environ 157 .4 milliards de F. CFA, ajoutant que cette contribution relativement faible au financement des économies est liée à la faiblesse de l’offre de titres depuis la création des deux bourses de Douala et Libreville.
Il a également relevé que les catégories de titres offerts ne sont pas diversifiées. Il s’agit uniquement d’actions et d'obligations qui sont proposées aux investisseurs par appel public à l’épargne par placement privé.
Il faut relever que le processus de création d’un marché financier régional a abouti à la mise en place de deux marchés parallèles, la Douala stock Exchange(DSX), un marché boursier national et la Bourse des valeurs mobilières d’Afrique centrale (BVMAC) à caractère régional.
Cette situation n’est pas viable compte tenu de la réalité et de la taille potentielle de l’économie régionale, a expliqué M. Gandou, qui recommande un marché financier régional intégré.
Nina Gbagbo/ACAP.
La formation est axée sur deux phases, dont la première est focalisée sur l’organisation du marché financier, le fonctionnement d’une bourse et l'organisation des échanges, l’introduction en bourse, les obligations d’information et l’égalité d’accès à l’information, les indices boursiers, les fondements de la régulation financière et la surveillance du marché financier.
La deuxième phase de cette formation sera centrée sur la communication financière, l’évaluation boursière et la réglementation du marché, la modernisation du mode de financement de l’Etat.
M. Alexandre Gandou a indiqué à l'ouverture de l'atelier que les missions assignées à la COSUMAF sont entre autres de protéger l’épargne investie en produits financiers, de veiller à l’information des investisseurs et enfin d’assurer le bon fonctionnement du marché financier et prévenir les risques symboliques.
Il a précisé que le total des fonds levés sur les marchés financiers de la CEMAC s’élève a environ 157 .4 milliards de F. CFA, ajoutant que cette contribution relativement faible au financement des économies est liée à la faiblesse de l’offre de titres depuis la création des deux bourses de Douala et Libreville.
Il a également relevé que les catégories de titres offerts ne sont pas diversifiées. Il s’agit uniquement d’actions et d'obligations qui sont proposées aux investisseurs par appel public à l’épargne par placement privé.
Il faut relever que le processus de création d’un marché financier régional a abouti à la mise en place de deux marchés parallèles, la Douala stock Exchange(DSX), un marché boursier national et la Bourse des valeurs mobilières d’Afrique centrale (BVMAC) à caractère régional.
Cette situation n’est pas viable compte tenu de la réalité et de la taille potentielle de l’économie régionale, a expliqué M. Gandou, qui recommande un marché financier régional intégré.
Nina Gbagbo/ACAP.