Ces Etats Généraux prévus pour se dérouler du 12 au 15 décembre prochain à Bangui permettront aux experts, spécialistes et décideurs de diagnostiquer les maux qui minent ce secteur en vue d’une redéfinition claire des axes et stratégies pour la recherche de financement pouvant assurer la mise en œuvre d’une politique rationnelle pour atteindre les objectifs du millénaire pour le développement.
Massi a passé au peigne fin les aspects pointilleux de l’agriculture centrafricaine, notamment l’insuffisance de la technologie adaptée à la haute productivité, la dégradation des parcours pastoraux, l’insuffisance et la faiblesse des structures d’encadrement, le coût très élevé des intrants et la non disponibilité des zones de distribution par rapport au problème d’insécurité.
« Les enjeux des ces Etats généraux du Développement rural sont d’une importance capitale pour la relance des activités agro-pastorales en République Centrafricaine », a déclaré M. Massi, car a-t-il conclu, « les recommandations seront exécutoires ».
Massi a passé au peigne fin les aspects pointilleux de l’agriculture centrafricaine, notamment l’insuffisance de la technologie adaptée à la haute productivité, la dégradation des parcours pastoraux, l’insuffisance et la faiblesse des structures d’encadrement, le coût très élevé des intrants et la non disponibilité des zones de distribution par rapport au problème d’insécurité.
« Les enjeux des ces Etats généraux du Développement rural sont d’une importance capitale pour la relance des activités agro-pastorales en République Centrafricaine », a déclaré M. Massi, car a-t-il conclu, « les recommandations seront exécutoires ».