La Secrétaire exécutive de la CIRGL et le général Antoine Gambi à l'ouverture de l'atelier (photo ACAP/Agoalo)
Des participants venus de l’Angola, du Burundi, la République Centrafricaine, du Congo-Brazzaville, de la République Démocratique du Congo, du Kenya, de l’Ouganda du Rwanda, du Soudan, de la Tanzanie et de la Zambie prennent part à cet atelier qui a pour but d’équiper les coordonnateurs et les chargés de programme de la CIRGL d’outils de programmation basés sur les droits humains, le genre et les résultats escomptés.
Il s’agira également de définir une feuille de route des coordinations nationales pour ce qui est de la mise en œuvre des projets prioritaires et de la domestication de chaque protocole ainsi que les budgets y afférents et enfin de mettre en commun et de se convenir sur les projets à examiner lors de la table ronde des bailleurs de fonds de la CIRGL qui aura lieu au début du mois de novembre prochain à Bujumbura, au Burundi.
Dans le discours d’ouverture de l’atelier, le général Antoine Gambi a déclaré que la République Centrafricaine se réjouit de la mise en place du Fonds spécial pour la reconstruction et de développement, ajoutant que le gouvernement centrafricain s’inscrit naturellement dans la dynamique de mobilisation de ressources pour combler les déficits de financements qui retardent la mise en œuvre des projets et protocoles.
Il a mis un accent particulier sur les questions du genre et des droits de l’Homme qui sont au centre des préoccupations de cet atelier, relevant les violations massives des droits de la personne humaine, des politiques d’exclusions et la marginalisation des femmes comptent parmi les sources des conflits profonds et multidimensionnels qui ont sévi dans la Région des Grands Lacs.
Le général Gambi s’est réjoui de la création de la Cour pénale internationale (CPI), dont l’existence constitue selon lui une grande avancée car « auparavant, les femmes ont été soumises à des traitements dégradants et humiliants. Elles sont victimes d’abus, de sévices, de violences domestiques et sexuelles, des violences qui restent souvent impunies et constituent une menace».
Pour Mme Liberata Mula Mula, cet atelier, qui est la 2ème rencontre importante de la CIRGL abritée par la Centrafrique et qui servira d’état des lieux de la mise en œuvre des projets, traduit la volonté des autorités de ce pays d’aller de l’avant dans la mise en œuvre du pacte sur la sécurité, la stabilité et le développement.
Elle a également rendu un hommage mérité à M. Basile Diba, expert juriste centrafricain décédé le 22 septembre dernier, qui avait participé à la rédaction du pacte, et en mémoire de qui le général Gambi a fait observer une minute de silence.
Cet atelier est prévu pour prendre fin le vendredi 16 octobre prochain.
Il s’agira également de définir une feuille de route des coordinations nationales pour ce qui est de la mise en œuvre des projets prioritaires et de la domestication de chaque protocole ainsi que les budgets y afférents et enfin de mettre en commun et de se convenir sur les projets à examiner lors de la table ronde des bailleurs de fonds de la CIRGL qui aura lieu au début du mois de novembre prochain à Bujumbura, au Burundi.
Dans le discours d’ouverture de l’atelier, le général Antoine Gambi a déclaré que la République Centrafricaine se réjouit de la mise en place du Fonds spécial pour la reconstruction et de développement, ajoutant que le gouvernement centrafricain s’inscrit naturellement dans la dynamique de mobilisation de ressources pour combler les déficits de financements qui retardent la mise en œuvre des projets et protocoles.
Il a mis un accent particulier sur les questions du genre et des droits de l’Homme qui sont au centre des préoccupations de cet atelier, relevant les violations massives des droits de la personne humaine, des politiques d’exclusions et la marginalisation des femmes comptent parmi les sources des conflits profonds et multidimensionnels qui ont sévi dans la Région des Grands Lacs.
Le général Gambi s’est réjoui de la création de la Cour pénale internationale (CPI), dont l’existence constitue selon lui une grande avancée car « auparavant, les femmes ont été soumises à des traitements dégradants et humiliants. Elles sont victimes d’abus, de sévices, de violences domestiques et sexuelles, des violences qui restent souvent impunies et constituent une menace».
Pour Mme Liberata Mula Mula, cet atelier, qui est la 2ème rencontre importante de la CIRGL abritée par la Centrafrique et qui servira d’état des lieux de la mise en œuvre des projets, traduit la volonté des autorités de ce pays d’aller de l’avant dans la mise en œuvre du pacte sur la sécurité, la stabilité et le développement.
Elle a également rendu un hommage mérité à M. Basile Diba, expert juriste centrafricain décédé le 22 septembre dernier, qui avait participé à la rédaction du pacte, et en mémoire de qui le général Gambi a fait observer une minute de silence.
Cet atelier est prévu pour prendre fin le vendredi 16 octobre prochain.