Le thème choisi pour la célébration de cette année est « les artistes contemporains Centrafricains face à la création et aux mythes traditionnels. »
Selon M. Bruno Martinelli, l’objectif recherché à travers cette journée et le thème choisi est de sensibiliser les centrafricains en vue d’une prise de conscience sur la défense, la valorisation et la conservation de la tradition culturelle centrafricaine et des objets d’art traditionnels.
Dans un exposé qu’il a présenté sur « l’art traditionnel centrafricain (masques statuaires,couteaux de jet) », M. Martinelli a affirmé que les objets d’art traditionnels de la Centrafrique témoignent d’une esthétique manifeste.
Mais seulement, a-t-il regretté, « il est aujourd’hui difficile de retrouver les objets d’art centrafricains dans les musées internationaux ».
Il a expliqué que l’hypothèse souvent avancée est que les Centrafricains s’intéressent très peu au travail du bois. C’est la raison pour laquelle l’organisation de ce premier colloque sur l’art centrafricain mérite une attention particulière, a-t-il précisé.
M. Louis Baînilago, enseignant au département d’anthropologie à l’université de Bangui qui a présenté un exposé intitulé « le point de vue de l’anthropologue sur » a pour sa part expliqué l’une des acceptions de la notion est qu’il est « l’aptitude à exprimer et à communiquer ses sentiments ».
A cet effet, il a expliqué que sur le anthropologique, l’art constitue un élément très important dans la vie humaine. Car il est un signe d’hominisation et permet de véhiculer une identité. C’est dans cette optique que les centrafricains doivent prendre conscience de l’enjeu des objets d’art de leur pays. Il a conclu que l’art doit puiser dans les réalités de la société qui l’exprime.
Les manifestations de la journée Eric de Dampierre de cette année sont basées sur des exposés sur l’art centrafricain dans tous les domaines et de projection de film sur l’art traditionnel africain. La journée prend fin samedi 26 mai 2007.
Selon M. Bruno Martinelli, l’objectif recherché à travers cette journée et le thème choisi est de sensibiliser les centrafricains en vue d’une prise de conscience sur la défense, la valorisation et la conservation de la tradition culturelle centrafricaine et des objets d’art traditionnels.
Dans un exposé qu’il a présenté sur « l’art traditionnel centrafricain (masques statuaires,couteaux de jet) », M. Martinelli a affirmé que les objets d’art traditionnels de la Centrafrique témoignent d’une esthétique manifeste.
Mais seulement, a-t-il regretté, « il est aujourd’hui difficile de retrouver les objets d’art centrafricains dans les musées internationaux ».
Il a expliqué que l’hypothèse souvent avancée est que les Centrafricains s’intéressent très peu au travail du bois. C’est la raison pour laquelle l’organisation de ce premier colloque sur l’art centrafricain mérite une attention particulière, a-t-il précisé.
M. Louis Baînilago, enseignant au département d’anthropologie à l’université de Bangui qui a présenté un exposé intitulé « le point de vue de l’anthropologue sur » a pour sa part expliqué l’une des acceptions de la notion est qu’il est « l’aptitude à exprimer et à communiquer ses sentiments ».
A cet effet, il a expliqué que sur le anthropologique, l’art constitue un élément très important dans la vie humaine. Car il est un signe d’hominisation et permet de véhiculer une identité. C’est dans cette optique que les centrafricains doivent prendre conscience de l’enjeu des objets d’art de leur pays. Il a conclu que l’art doit puiser dans les réalités de la société qui l’exprime.
Les manifestations de la journée Eric de Dampierre de cette année sont basées sur des exposés sur l’art centrafricain dans tous les domaines et de projection de film sur l’art traditionnel africain. La journée prend fin samedi 26 mai 2007.