« C’est dur de former les hommes et les femmes, mais quand on le fait, on participe à la cohésion sociale et à la paix », a déclaré M Onana dans son discours de clôture,
exhortant les participants à vulgariser les fruits de cette formation dans leurs unités respectives.
« Je vous recommande d’impliquer vos compagnons d’armes dans ce que vous avez appris car la parole entraîne, mais l’exemple enseigne » a-t-il lancé à l’endroit des participants avant d’ajouter que la formation des officiers et des hommes de troupe capables , respectueux des droits humains participe de la construction nationale et de la consolidation de l’Etat de droit.
M Onana a également demandé aux participants de se lasser désormais guidés dans leurs activités quotidiennes par les principes et les idéaux des droits de l’homme « en cette période où tout le monde est jugé et jaugé par des regards extérieurs ».
« Former les hommes n’est pas remplir un vase, mais c’est allumer un feu, un feu de responsabilité, de l’expérience et de la vulgarisation de la connaissance », a-t-il conclu.
Le colonel Dimassé s’est quant à lui réjoui de la tenue de cet atelier qui constitue selon lui, « l’un des volets de renforcement de sécurité dont l’objectif demeure l’établissement des forces de défense professionnelle, responsables devant les institutions ayant le connaissance dans le domaine des droits humains et des citoyens ».
Organisé par le ministère de la Défense nationale en partenariat avec le Bureau de l’Organisation des Nations Unies en Centrafrique (BONUCA), le Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) et le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), cet atelier de formation des officiers des Forces armées Centrafricaines sur les droits humains s’est déroulé pendant quatre jours.
exhortant les participants à vulgariser les fruits de cette formation dans leurs unités respectives.
« Je vous recommande d’impliquer vos compagnons d’armes dans ce que vous avez appris car la parole entraîne, mais l’exemple enseigne » a-t-il lancé à l’endroit des participants avant d’ajouter que la formation des officiers et des hommes de troupe capables , respectueux des droits humains participe de la construction nationale et de la consolidation de l’Etat de droit.
M Onana a également demandé aux participants de se lasser désormais guidés dans leurs activités quotidiennes par les principes et les idéaux des droits de l’homme « en cette période où tout le monde est jugé et jaugé par des regards extérieurs ».
« Former les hommes n’est pas remplir un vase, mais c’est allumer un feu, un feu de responsabilité, de l’expérience et de la vulgarisation de la connaissance », a-t-il conclu.
Le colonel Dimassé s’est quant à lui réjoui de la tenue de cet atelier qui constitue selon lui, « l’un des volets de renforcement de sécurité dont l’objectif demeure l’établissement des forces de défense professionnelle, responsables devant les institutions ayant le connaissance dans le domaine des droits humains et des citoyens ».
Organisé par le ministère de la Défense nationale en partenariat avec le Bureau de l’Organisation des Nations Unies en Centrafrique (BONUCA), le Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) et le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), cet atelier de formation des officiers des Forces armées Centrafricaines sur les droits humains s’est déroulé pendant quatre jours.