Le groupe zekê ti bê afrika
"Il faut que les Centrafricains ne puissent pas toujours consommer ce qui vient d’ailleurs," a déclaré M. Gobi qui a indiqué que le but de ce festival est d'amener ceux-ci à consommer d’abord leur culture, qu'il convient de protéger car : « un peuple peut tout perdre sauf sa culture ».
Il s’est dit ravi, de ce festival qui n’est qu’en gestation, ajoutant que le bilan est positif parce que les artistes ont réussi à démontrer ce qu’on appelle l’expression artistique et culturelle, permettant ainsi au FIAC d'atteindre son objectif.
M. Nicolas Mbamba s’est réjoui de la tenue et de la réussite de ce festival, et a déclaré que cela prouve à suffisance que la dynamique culturelle centrafricaine se met en place. Il a saisi cette opportunité pour féliciter les organisateurs qui ont conduit cette manifestation jusqu’à son aboutissement.
Il a par ailleurs souhaité que ces spectacles ne puissent pas se limiter à Bangui, mais s’étendent au niveau national, sous-régional et international. Il a enfin lancé un vibrant appel aux opérateurs culturels centrafricains de multiplier ce genre de rendez-vous, à l’instar de la jeune dynamique association Ngongo Culture.
"Ce festival nous a permis de valoriser la culture centrafricaine à travers la danse et les arts", a déclaré Mme Christel Bawaka, artiste comédienne dans la troupe Les perroquets, qui joue, dans la pièce "L’ancien combattant", le rôle de la femme du douanier, chargée de recruter des anciens combattants.
Pour sa part l'artiste comédien et écrivain de la compagnie Le Transparent a saisi cette occasion pour appeler les Centrafricains à la réconciliation afin de bâtir un Centrafrique nouveau.
Il convient de noter que six jours durant, les troupes théâtrales « Les perroquets", "Les transparents" et l’Association des Femmes Artistes (AFAC), ainsi que les compagnies de danse "Le ballet National", "Zéké ti bè africa", "Mbuki danse" et "Corps de transe sabango " ont égayé le public centrafricain.
Il s’est dit ravi, de ce festival qui n’est qu’en gestation, ajoutant que le bilan est positif parce que les artistes ont réussi à démontrer ce qu’on appelle l’expression artistique et culturelle, permettant ainsi au FIAC d'atteindre son objectif.
M. Nicolas Mbamba s’est réjoui de la tenue et de la réussite de ce festival, et a déclaré que cela prouve à suffisance que la dynamique culturelle centrafricaine se met en place. Il a saisi cette opportunité pour féliciter les organisateurs qui ont conduit cette manifestation jusqu’à son aboutissement.
Il a par ailleurs souhaité que ces spectacles ne puissent pas se limiter à Bangui, mais s’étendent au niveau national, sous-régional et international. Il a enfin lancé un vibrant appel aux opérateurs culturels centrafricains de multiplier ce genre de rendez-vous, à l’instar de la jeune dynamique association Ngongo Culture.
"Ce festival nous a permis de valoriser la culture centrafricaine à travers la danse et les arts", a déclaré Mme Christel Bawaka, artiste comédienne dans la troupe Les perroquets, qui joue, dans la pièce "L’ancien combattant", le rôle de la femme du douanier, chargée de recruter des anciens combattants.
Pour sa part l'artiste comédien et écrivain de la compagnie Le Transparent a saisi cette occasion pour appeler les Centrafricains à la réconciliation afin de bâtir un Centrafrique nouveau.
Il convient de noter que six jours durant, les troupes théâtrales « Les perroquets", "Les transparents" et l’Association des Femmes Artistes (AFAC), ainsi que les compagnies de danse "Le ballet National", "Zéké ti bè africa", "Mbuki danse" et "Corps de transe sabango " ont égayé le public centrafricain.