Un des particvipants(à gauche) recevant son certificat des mains du ministre de la Santé(à droite), Photo-ACAP/Bada
Les participants ont notamment recommandé à ces deux gouvernements leur appui nécessaire à la réussite des actions envisagées par le comité d’éthique. Quant aux bailleurs de fonds, il leur a été recommandé un appui financier et technique pour appuyer les projets liés aux bonnes pratiques dans les recherches médicales.
En principe, quatre mois après cet atelier la République Centrafricaine et al République du Tchad devraient chacune de son côté, mettre un comité d’éthique en place pour orienter désormais tous les travaux de recherche scientifiques en matière de santé. Car ce comité a pour but de veiller à de bonnes pratiques dans la recherche.
« Les bonnes pratiques veulent dire que toutes recherches menées sur l’être humain ne doit pas lui causer du tort sur le plan physique, moral et psychologique, car l’être humain est sacré », a expliqué le Docteur Abdoulaye Sépou, un des participants à cet atelier.
Docteur Narcisse Komas, responsable du laboratoire des hépatites virales à l’Institut Pasteur de Bangui, « la mise en place de ce comité éthique va permettre aux cliniciens et chercheurs de faire des demandes de financement pour leurs projets de recherche ».
Selon lui, ce comité représente un cadre institutionnel qui va permettre aux partenaires de soutenir les initiatives des chercheurs centrafricains.
Pour ce dernier, même s’il existe déjà à la Faculté des Sciences de la Santé (Facss) de l’Université de Bangui un comité scientifique qui joue le même rôle que le comité éthique, « il faut un comité d’éthique pour la mise en place des textes fondamentaux et normaliser ce comité scientifique ».
Pour le Docteur Mirdrad Kanzadji, Directeur de l’Institut Pasteur de Bangui, la mise en place de ce comité d’éthique est un plus pour son institution. « Nous étions en pleine mise au point de nos programmes de recherche, et cet appui intellectuel est essentiel pour nous », a-t-il déclaré.
Il convient de préciser qu’il s’agit d’un comité pluridisciplinaire composé de professionnels de la santé, de juristes, de sociologues voire de religieux.
En principe, quatre mois après cet atelier la République Centrafricaine et al République du Tchad devraient chacune de son côté, mettre un comité d’éthique en place pour orienter désormais tous les travaux de recherche scientifiques en matière de santé. Car ce comité a pour but de veiller à de bonnes pratiques dans la recherche.
« Les bonnes pratiques veulent dire que toutes recherches menées sur l’être humain ne doit pas lui causer du tort sur le plan physique, moral et psychologique, car l’être humain est sacré », a expliqué le Docteur Abdoulaye Sépou, un des participants à cet atelier.
Docteur Narcisse Komas, responsable du laboratoire des hépatites virales à l’Institut Pasteur de Bangui, « la mise en place de ce comité éthique va permettre aux cliniciens et chercheurs de faire des demandes de financement pour leurs projets de recherche ».
Selon lui, ce comité représente un cadre institutionnel qui va permettre aux partenaires de soutenir les initiatives des chercheurs centrafricains.
Pour ce dernier, même s’il existe déjà à la Faculté des Sciences de la Santé (Facss) de l’Université de Bangui un comité scientifique qui joue le même rôle que le comité éthique, « il faut un comité d’éthique pour la mise en place des textes fondamentaux et normaliser ce comité scientifique ».
Pour le Docteur Mirdrad Kanzadji, Directeur de l’Institut Pasteur de Bangui, la mise en place de ce comité d’éthique est un plus pour son institution. « Nous étions en pleine mise au point de nos programmes de recherche, et cet appui intellectuel est essentiel pour nous », a-t-il déclaré.
Il convient de préciser qu’il s’agit d’un comité pluridisciplinaire composé de professionnels de la santé, de juristes, de sociologues voire de religieux.