Cet appel est intervenu lors de la restitution de la Conférence Panafricaine sur la célébration du Courage et l’élimination des traditions néfastes dont sont victimes les femmes et les jeunes filles, tenue du 5 au 7 octobre 2011 à Addis-Abeba en Ethiopie.
Mme Chantal Solange Touabena, s’est insurgée contre certaines pratiques telles que le mariage précoce ; les rites de veuvages ; l’excision ; la non scolarisation des jeunes filles ; les viols ; les violences conjugales et les interdits alimentaires dont sont victimes les femmes et filles centrafricaines.
Selon elle, les femmes centrafricaines sont souvent martyrisées, surtout quand elles dépendent entièrement de leur mari, elles n’ont pas droit à la justice, car, la plupart d’entre elles ignorent leur droits estimant que la justice est réservés aux gens riches.
C’est pourquoi, elle a exhorté le gouvernement à mettre l’accent sur l’éducation des jeunes filles, pour elle, « éduquer une jeune fille, c’est éduquer toute une nation ».
Il faut souligner que la Conférence Panafricaine sur la célébration du courage et l’élimination des pratiques traditionnelles néfastes s’est tenue pour la première fois à Addis-Abeba du 5 au 7 octobre 2011 en partenariat avec la Commission de l’Union Africaine. Cette Conférence a pour objectifs de contribuer aux efforts continentaux pour la promotion et la protection des femmes et des filles.
Elle vise également à faire le plaidoyer pour la ratification et l’appropriation du Protocole de l’Union africaine à la Charte des droits de l’homme et des peuples relatifs aux droits des femmes en Afrique, de la Charte africaine des droits et du bien-être de l’enfant et de la Charte de la Renaissance culturelle africaine.
Créé le 11 septembre 2004, le CIAF a pour mission de contribuer à la promotion et à la protection des femmes et des enfants en Centrafrique, de libérer les femmes du joug des pratiques néfastes et d’autres formes de violences liés aux genres ; mettre en relief les dangers que constituent les pratiques traditionnelles et violences pour la santé de reproduction.
Elle a également la mission d’informer et de sensibiliser la population sur ces pratiques et de réfléchir sur des mesures à mettre en places en se basant sur des traités internationaux signés par la République Centrafricaine.
Mme Chantal Solange Touabena, s’est insurgée contre certaines pratiques telles que le mariage précoce ; les rites de veuvages ; l’excision ; la non scolarisation des jeunes filles ; les viols ; les violences conjugales et les interdits alimentaires dont sont victimes les femmes et filles centrafricaines.
Selon elle, les femmes centrafricaines sont souvent martyrisées, surtout quand elles dépendent entièrement de leur mari, elles n’ont pas droit à la justice, car, la plupart d’entre elles ignorent leur droits estimant que la justice est réservés aux gens riches.
C’est pourquoi, elle a exhorté le gouvernement à mettre l’accent sur l’éducation des jeunes filles, pour elle, « éduquer une jeune fille, c’est éduquer toute une nation ».
Il faut souligner que la Conférence Panafricaine sur la célébration du courage et l’élimination des pratiques traditionnelles néfastes s’est tenue pour la première fois à Addis-Abeba du 5 au 7 octobre 2011 en partenariat avec la Commission de l’Union Africaine. Cette Conférence a pour objectifs de contribuer aux efforts continentaux pour la promotion et la protection des femmes et des filles.
Elle vise également à faire le plaidoyer pour la ratification et l’appropriation du Protocole de l’Union africaine à la Charte des droits de l’homme et des peuples relatifs aux droits des femmes en Afrique, de la Charte africaine des droits et du bien-être de l’enfant et de la Charte de la Renaissance culturelle africaine.
Créé le 11 septembre 2004, le CIAF a pour mission de contribuer à la promotion et à la protection des femmes et des enfants en Centrafrique, de libérer les femmes du joug des pratiques néfastes et d’autres formes de violences liés aux genres ; mettre en relief les dangers que constituent les pratiques traditionnelles et violences pour la santé de reproduction.
Elle a également la mission d’informer et de sensibiliser la population sur ces pratiques et de réfléchir sur des mesures à mettre en places en se basant sur des traités internationaux signés par la République Centrafricaine.