Il a indiqué que le taux de croissance démographique est de 2,5 pour un indice synthétique de fécondité de 5 enfants par femme ; les jeunes représentent 49 pour cent et 6 pour cent pour les personnes âgées avec un taux de mortalité infantile élevé.
« Cet état de chose interpelle chaque Centrafricain à réfléchir profondément sur le cadre de vie dans lequel devrait vivre les Centrafricains d’aujourd’hui et la génération future », a estimé le Premier ministre Faustin Archange Touadéra.
Il a affirmé que le gouvernement, à travers le Document de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP) deuxième génération, a mis l’accent sur le capital humain et les services sociaux essentiels pour qu’enfin chaque habitant de la République Centrafricaine aspire à une vie meilleure dans un environnement saint, de paix et de sécurité afin de réduire le taux de mortalité maternelle et favoriser l’éducation des filles et prioriser le travail rémunéré des femmes.
Selon le Premier ministre, le poids démographique ne doit pas être considéré comme une menace mais un atout majeur pour façonner la vie de la population et que les personnes vulnérables puissent bénéficier d’une protection sociale.
« Réfléchissons ensemble pour une meilleure planification du développement de notre pays », a conclu le Premier ministre.
La représentante résidente du Fonds des Nations Unies pour la population(UNFPA), Mme Thérèse Zéba, a souligné que « un monde à sept milliards d’individus constitue une menace dont notre pays et planète font face ».
Par conséquent, elle a invité les organisations de la société civile, les leaders religieux et administratifs et communautaires, les Universitaires ainsi que les partenaires au développement à mettre en commun leurs énergies créatrices, leurs ressources personnelles et collectives dans la paix pour inverser les tendances.
« En effet chaque individu vivra dans un monde où les droits humains fondamentaux sont respectés ; les fils et les filles sont traitées avec dignité », a-t-elle dit.
« Sept milliards d’être humain nécessitent des actions créatrices et novatrices dans différents domaines pour créer un impact significatif sur la vie des femmes et des hommes », a-t-elle dit.
Elle a précisé que la campagne qui va suivre a pour objet d’accroître la prise de conscience et d’entreprendre des actions clés pour rendre le monde meilleur aujourd’hui et pour la génération future.
Il s’agit de briser le cercle vicieux de la pauvreté et des inégalités, d’accroître le renforcement des capacités des femmes et des filles pour accélérer les progrès sur tous les fronts, de bâtir l’avenir pour les jeunes et avec les jeunes, a-t-elle insisté.
« Cet état de chose interpelle chaque Centrafricain à réfléchir profondément sur le cadre de vie dans lequel devrait vivre les Centrafricains d’aujourd’hui et la génération future », a estimé le Premier ministre Faustin Archange Touadéra.
Il a affirmé que le gouvernement, à travers le Document de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP) deuxième génération, a mis l’accent sur le capital humain et les services sociaux essentiels pour qu’enfin chaque habitant de la République Centrafricaine aspire à une vie meilleure dans un environnement saint, de paix et de sécurité afin de réduire le taux de mortalité maternelle et favoriser l’éducation des filles et prioriser le travail rémunéré des femmes.
Selon le Premier ministre, le poids démographique ne doit pas être considéré comme une menace mais un atout majeur pour façonner la vie de la population et que les personnes vulnérables puissent bénéficier d’une protection sociale.
« Réfléchissons ensemble pour une meilleure planification du développement de notre pays », a conclu le Premier ministre.
La représentante résidente du Fonds des Nations Unies pour la population(UNFPA), Mme Thérèse Zéba, a souligné que « un monde à sept milliards d’individus constitue une menace dont notre pays et planète font face ».
Par conséquent, elle a invité les organisations de la société civile, les leaders religieux et administratifs et communautaires, les Universitaires ainsi que les partenaires au développement à mettre en commun leurs énergies créatrices, leurs ressources personnelles et collectives dans la paix pour inverser les tendances.
« En effet chaque individu vivra dans un monde où les droits humains fondamentaux sont respectés ; les fils et les filles sont traitées avec dignité », a-t-elle dit.
« Sept milliards d’être humain nécessitent des actions créatrices et novatrices dans différents domaines pour créer un impact significatif sur la vie des femmes et des hommes », a-t-elle dit.
Elle a précisé que la campagne qui va suivre a pour objet d’accroître la prise de conscience et d’entreprendre des actions clés pour rendre le monde meilleur aujourd’hui et pour la génération future.
Il s’agit de briser le cercle vicieux de la pauvreté et des inégalités, d’accroître le renforcement des capacités des femmes et des filles pour accélérer les progrès sur tous les fronts, de bâtir l’avenir pour les jeunes et avec les jeunes, a-t-elle insisté.