Un mandat d’arret international a été lancé contre M. Jean Pierre Bémba Gombo le 23 mai 2008 et rendu public le 24 mai de la même année pour des chefs de crimes contre l’humanité (viol, torture, meurtre) et des chefs de crimes de guerre (viol, torture, atteinte à la dignité humaine, pillage et meurtre).
Le procureur de la CPI devra soutenir ses charges par le biais des preuves suffisantes et le prévenu Bemba aura l’opportunité de réfuter les charges et de présenter ses preuves par l’intermédiaire de son conseil qui comprend d’illustres avocats, notamment maîtres Nkwebe Liris, Karim Khan, Aimé Kilolo-Musamba et Pierre Legros.
L’avocate Marie Edith Douzima Lawson et le bureau du conseil public pour les victimes (BCPV) représentent 54 victimes et présenteront leurs perspectives et inquiétudes.
Rappelons qu’une enquête a été ouverte en RCA le 22 mai 2007 par le procureur de la CPI, Luis Moreno-Ocampo, à la suite d’un renvoi par le gouvernement de la République Centrafricaine du 7 janvier 2005.
Mais la phase du procès à la CPI ne pourra commencer qu’une fois que les charges auront été confirmées.
Le procureur de la CPI devra soutenir ses charges par le biais des preuves suffisantes et le prévenu Bemba aura l’opportunité de réfuter les charges et de présenter ses preuves par l’intermédiaire de son conseil qui comprend d’illustres avocats, notamment maîtres Nkwebe Liris, Karim Khan, Aimé Kilolo-Musamba et Pierre Legros.
L’avocate Marie Edith Douzima Lawson et le bureau du conseil public pour les victimes (BCPV) représentent 54 victimes et présenteront leurs perspectives et inquiétudes.
Rappelons qu’une enquête a été ouverte en RCA le 22 mai 2007 par le procureur de la CPI, Luis Moreno-Ocampo, à la suite d’un renvoi par le gouvernement de la République Centrafricaine du 7 janvier 2005.
Mais la phase du procès à la CPI ne pourra commencer qu’une fois que les charges auront été confirmées.