Selon le Chef de l’unité d’études des hémopathies du CIRMF, Dr Lucas Sica en mission précurseur à Bangui avec son Directeur Général, le projet en question permet de soumettre systématiquement tous les bébés dès leur naissance à un test qui permet de connaitre leur statut.
« C’est la meilleure façon de prévenir la drépanocytose », a expliqué Dr Lucas Sica qui a précisé que le Gabon et la République Centrafrique ont un taux de drépanocytose de 25%, l’espérance de vie étant de 0 à 5 ans et l’apparition des signes cliniques à 6 mois.
Pour lui, le fait de connaitre le plus tôt possible le statut d’un enfant facilite la prise en charge de cette maladie qui ruine les familles, si elle n’est pas identifiée à temps.
« Plus le statut de l’enfant est connu, plus il reçoit des conseils génétiques qui lui permettront de choisir en conséquence son conjoint ou sa conjointe en vue de garantir sa progéniture », a-t-il fait souligné.
Le partenariat entre l’Institut Pasteur de Bangui et le CIRMF prévoit, dans le cadre de ce projet, la formation du personnel, la formation et la recherche médicale à l’Université de Bangui, la technologie entre autres.
Le Directeur général du CIRMF, Dr Jean Paul Gonzalez a pour sa part dit que ce projet vise deux objectifs que sont l’appui à la Centrafrique dans la prévention et le suivi de la maladie, mais aussi lui donner l’occasion de participer à la recherche au niveau régional en prenant la drépanocytose comme « vecteur ».
Le Directeur de l’Institut Pasteur de Bangui Dr Mirdad Kazanji s’est quant à lui félicité de cette coopération avec le CIRMF. Pour lui, c’est « un exemple de partenariat Sud-Sud qu’il faut élargir au niveau régional ».
Il convient de signaler que le CIRMF est créé en 1979 à Franceville au Gabon. Ses activités sont basées dans la recherche de l’amélioration de la fécondité et de la santé péri-natale.
Il fait des recherches en virologie fondamentale et l’épidémiologie, en parasitologie avec un accent particulier sur le paludisme, les filarioses, la toxoplasmose, en primatologie expérimentale, en Hématologie et en écologie de la santé.
« C’est la meilleure façon de prévenir la drépanocytose », a expliqué Dr Lucas Sica qui a précisé que le Gabon et la République Centrafrique ont un taux de drépanocytose de 25%, l’espérance de vie étant de 0 à 5 ans et l’apparition des signes cliniques à 6 mois.
Pour lui, le fait de connaitre le plus tôt possible le statut d’un enfant facilite la prise en charge de cette maladie qui ruine les familles, si elle n’est pas identifiée à temps.
« Plus le statut de l’enfant est connu, plus il reçoit des conseils génétiques qui lui permettront de choisir en conséquence son conjoint ou sa conjointe en vue de garantir sa progéniture », a-t-il fait souligné.
Le partenariat entre l’Institut Pasteur de Bangui et le CIRMF prévoit, dans le cadre de ce projet, la formation du personnel, la formation et la recherche médicale à l’Université de Bangui, la technologie entre autres.
Le Directeur général du CIRMF, Dr Jean Paul Gonzalez a pour sa part dit que ce projet vise deux objectifs que sont l’appui à la Centrafrique dans la prévention et le suivi de la maladie, mais aussi lui donner l’occasion de participer à la recherche au niveau régional en prenant la drépanocytose comme « vecteur ».
Le Directeur de l’Institut Pasteur de Bangui Dr Mirdad Kazanji s’est quant à lui félicité de cette coopération avec le CIRMF. Pour lui, c’est « un exemple de partenariat Sud-Sud qu’il faut élargir au niveau régional ».
Il convient de signaler que le CIRMF est créé en 1979 à Franceville au Gabon. Ses activités sont basées dans la recherche de l’amélioration de la fécondité et de la santé péri-natale.
Il fait des recherches en virologie fondamentale et l’épidémiologie, en parasitologie avec un accent particulier sur le paludisme, les filarioses, la toxoplasmose, en primatologie expérimentale, en Hématologie et en écologie de la santé.
