Pour le diplomate chinois, la signature de ces lettres d'échange qui marque le démarrage officiel du projet, va faire que "le rêve nourri par le peuple centrafricain depuis des décennies devienne dans un proche avenir, une belle et encourageante réalité".
Il a indiqué que la mise en oeuvre de ce projet va permettre d'éradiquer les délestages exagérs qui affectent sérieusement les secteurs porteurs de la République Centrafricaine.
"Le délestage fréquent et étendu perturbe non seulement la vie normale des habitants, mais aussi le travail quotidien des départements clés et des secteurs d’activités sensibles que sont les hôpitaux, les écoles et le gouvernement. Le développement économique et la stabilité sociale en subissent également le coup", a-t-il poursuivi.
C'est pour aider la Centrafrique de sortir de cette "situation préoccupante" quer la Chine a accepté de financer le projet "en dépit du grave choc qu’elle a subi dans un contexte caractérisé par la crise financière internationale et de ses propres taches de développement aussi lourdes que complexes", a indiqué M. Shi Hu.
Le ministre d’Etat au plan, à l’économie et à la coopération internationale, M. Sylvain Maliko, a lui aussi reconnu les difficultés du pays dans le domaine de l'énergie et les tentatives de solutions du gouvernement en recherchant des financements.
"Il s’agit pour le gouvernement centrafricain de trouver une solution durable et définitive à la question de l’approvisionnement de la ville de Bangui en électricité (...) parce que l’énergie a une position centrale dans le développement d’un pays", a-t-il indiqué.
Le ministre d’Etat aux mines, à l'énergie et à l'hydraulique, M. Sylvain Doutingaï, a quant à lui rappelé que l’usine de Boali ne fournit que 18 MW, alors que la ville de Bangui et ses environs ont besoins de 28 M W, soit un déficit de 10 MW.
Il s'est réjoui du projet de construction de la centrale hydro-électrique de Boali 3 qui va selon soulager la population. Car "tous les efforts entrepris jusqu'ici étaient destinés à faire tourner les machines. C'est le résultat de ce projet dont le fiancement va dans l'ordre de 25 à 50 milliards, qui mettra fin au délestage", a-t-il souligné.
Sylvain Ndoutingaï a ailleurs relevé que la signature des lettres d'échange relatives à ce projet ne signifie pas le démarrage immédiat des travaux. "Un appel d'offre sera lancé à l'endroit des entreprises chinoises spécialisées dans le domaine, pour la fabrication des turbines, avant de fixer le coût définitif d'exécution pour que les travaux démarrent", a-t-il relevé.
Il convient de rappeler que la Chine réalise des projets importants en République Centrafricaine. Entre autres la construction des hôpitaux, des écoles et le renforcement de l'émetteur de Radio Centrafrique.
Il a indiqué que la mise en oeuvre de ce projet va permettre d'éradiquer les délestages exagérs qui affectent sérieusement les secteurs porteurs de la République Centrafricaine.
"Le délestage fréquent et étendu perturbe non seulement la vie normale des habitants, mais aussi le travail quotidien des départements clés et des secteurs d’activités sensibles que sont les hôpitaux, les écoles et le gouvernement. Le développement économique et la stabilité sociale en subissent également le coup", a-t-il poursuivi.
C'est pour aider la Centrafrique de sortir de cette "situation préoccupante" quer la Chine a accepté de financer le projet "en dépit du grave choc qu’elle a subi dans un contexte caractérisé par la crise financière internationale et de ses propres taches de développement aussi lourdes que complexes", a indiqué M. Shi Hu.
Le ministre d’Etat au plan, à l’économie et à la coopération internationale, M. Sylvain Maliko, a lui aussi reconnu les difficultés du pays dans le domaine de l'énergie et les tentatives de solutions du gouvernement en recherchant des financements.
"Il s’agit pour le gouvernement centrafricain de trouver une solution durable et définitive à la question de l’approvisionnement de la ville de Bangui en électricité (...) parce que l’énergie a une position centrale dans le développement d’un pays", a-t-il indiqué.
Le ministre d’Etat aux mines, à l'énergie et à l'hydraulique, M. Sylvain Doutingaï, a quant à lui rappelé que l’usine de Boali ne fournit que 18 MW, alors que la ville de Bangui et ses environs ont besoins de 28 M W, soit un déficit de 10 MW.
Il s'est réjoui du projet de construction de la centrale hydro-électrique de Boali 3 qui va selon soulager la population. Car "tous les efforts entrepris jusqu'ici étaient destinés à faire tourner les machines. C'est le résultat de ce projet dont le fiancement va dans l'ordre de 25 à 50 milliards, qui mettra fin au délestage", a-t-il souligné.
Sylvain Ndoutingaï a ailleurs relevé que la signature des lettres d'échange relatives à ce projet ne signifie pas le démarrage immédiat des travaux. "Un appel d'offre sera lancé à l'endroit des entreprises chinoises spécialisées dans le domaine, pour la fabrication des turbines, avant de fixer le coût définitif d'exécution pour que les travaux démarrent", a-t-il relevé.
Il convient de rappeler que la Chine réalise des projets importants en République Centrafricaine. Entre autres la construction des hôpitaux, des écoles et le renforcement de l'émetteur de Radio Centrafrique.