Cette déclaration a été faite le mardi 29 mai 2012, à Bangui, lors de l’adoption par les députés, du projet de loi portant création de la Société de développement des infrastructures aéroportuaires de Centrafrique (SODIAC) qui devrait réaliser les travaux.
Le ministre délégué, Théodore Jousso, a fait savoir que la SODIAC a contracté un prêt de 40 milliards Fcfa dont 34 milliards Fcfa, auprès d’Exim Bank de la République populaire de Chine, soit environ 85% du financement. Il a précisé que le reste des fonds est à rechercher par la société auprès de la Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale (BDEAC).
Le membre du gouvernement a souligné que ce projet consiste à réaliser des travaux devant permettre d’améliorer les conditions de vols et les infrastructures de l’aéroport Bangui-Mpoko. Il s’agit notamment de la piste d’atterrissage, les salles d’embarquement, les boutiques et les bars.
Il a fait savoir que tous ces travaux pourront faciliter et accroître la fréquentation de l’aéroport Bangui M’Poko d’une part, répondre aux normes de sécurité d’autre part, car le projet procédera à la clôture de l’aéroport. De même, pour renforcer la sécurité, les dispositions seront prises afin d’opérer des fouilles systématiques à l’entrée et à la sortie de l’aéroport, afin de permettre aux usagers ou aux passagers d’accéder librement et sans difficultés aux structures commerciales.
Précisons que la SODIAC est une société d’Etat qui a pour objectifs entre autres de gérer les recettes collectées par l’Association internationale des transports aériens (IATA), afin d’assurer le développement des infrastructures aéroportuaires. Cette société est également chargée de mobiliser des ressources extérieures devant contribuer à réaliser de grands projets d’infrastructures aéroportuaires en vue de permettre à l’aéroport Bangui M’Poko de répondre aux normes internationales.
Construit en 1967, l’aéroport Bangui-M’Poko a connu des aménagements sur la piste d’atterrissage en 1987.
Depuis cette date, les infrastructures sont restées en l’état et subissent les dégradations inhérentes à l’usure du temps (détérioration accélérée des chaussées aéronautiques, faute de l’entretien programmé tous les quinze (15) ans ; problème d’étanchéité de la toiture du bâtiment principal de l’aéroport; etc). Ces infrastructures ne répondent plus aux besoins d’exploitation d’un aéroport international moderne.
Le ministre délégué, Théodore Jousso, a fait savoir que la SODIAC a contracté un prêt de 40 milliards Fcfa dont 34 milliards Fcfa, auprès d’Exim Bank de la République populaire de Chine, soit environ 85% du financement. Il a précisé que le reste des fonds est à rechercher par la société auprès de la Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale (BDEAC).
Le membre du gouvernement a souligné que ce projet consiste à réaliser des travaux devant permettre d’améliorer les conditions de vols et les infrastructures de l’aéroport Bangui-Mpoko. Il s’agit notamment de la piste d’atterrissage, les salles d’embarquement, les boutiques et les bars.
Il a fait savoir que tous ces travaux pourront faciliter et accroître la fréquentation de l’aéroport Bangui M’Poko d’une part, répondre aux normes de sécurité d’autre part, car le projet procédera à la clôture de l’aéroport. De même, pour renforcer la sécurité, les dispositions seront prises afin d’opérer des fouilles systématiques à l’entrée et à la sortie de l’aéroport, afin de permettre aux usagers ou aux passagers d’accéder librement et sans difficultés aux structures commerciales.
Précisons que la SODIAC est une société d’Etat qui a pour objectifs entre autres de gérer les recettes collectées par l’Association internationale des transports aériens (IATA), afin d’assurer le développement des infrastructures aéroportuaires. Cette société est également chargée de mobiliser des ressources extérieures devant contribuer à réaliser de grands projets d’infrastructures aéroportuaires en vue de permettre à l’aéroport Bangui M’Poko de répondre aux normes internationales.
Construit en 1967, l’aéroport Bangui-M’Poko a connu des aménagements sur la piste d’atterrissage en 1987.
Depuis cette date, les infrastructures sont restées en l’état et subissent les dégradations inhérentes à l’usure du temps (détérioration accélérée des chaussées aéronautiques, faute de l’entretien programmé tous les quinze (15) ans ; problème d’étanchéité de la toiture du bâtiment principal de l’aéroport; etc). Ces infrastructures ne répondent plus aux besoins d’exploitation d’un aéroport international moderne.