Centrafrique: Atelier de validation du second rapport national sur le Protocole de Cartagena

Bangui, 9 nov. (ACAP) – Le ministre de l’Environnement et de l’Ecologie François Naouyama a ouvert les travaux de l’atelier de validation du 2ème rapport national de mise en œuvre du protocole de Cartagena relatif à la prévention des risques biotechnologiques, mercredi 9 novembre 2011, à Bangui.



Ce présent atelier permet à une trentaine de cadres des différents départements ministériels concernés  par les questions  de l’Environnement et de l’Ecologie, d’examiner et de comprendre tous les paramètres du Protocole de Cartagena, notamment, les organes génétiquement modifiés (OGM) ou organes divan-modifiés et la place de ce protocole dans la gestion de l’environnement.
 
Durant trois jours les participants seront édifiés entre autres sur la définition des concepts, de l’emploi de la Biotechnologie en Centrafrique, le protocole de Cartagena et le protocole additionnel.
 
« Le Protocole de Cartagena  sur la prévention des risques biotechnologiques concerne la sécurisation des transferts, la manipulation et l’utilisation sans danger des OGM résultant de la biotechnologie moderne qui peuvent avoir des effets néfastes sur la conservation de la biodiversité », a indiqué le ministre François Naouyama.
 
Le chef du département de l’Environnement et de l’Ecologie a rappelé que le projet du cadre national de développement de la biosécurité de la Centrafrique attend d’être validé par le gouvernement et promulgué par une loi connexe.
 
Il a aussi souligné que : « la validation du second rapport national relatif à la mise en  œuvre dudit protocole, dont le ministère de l’Environnement et de l’Ecologie attend, est un défi majeur pour la République Centrafricaine ».
 
Notons que cet atelier est organisé par le ministère de l’Environnement et de l’Ecologie avec l’appui financier du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE).
 

Mercredi 9 Novembre 2011
François Biongo / ACAP
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