Cette vaccination s’inscrit dans le cadre du projet Action Coordonnée des Instituts Pasteur (ACIP) visant à réduire sinon à éradiquer la transmission du virus de l’hépatite B aux enfants, très exposés à l’infection, sachant que le taux de prévalence chez les adultes est de 15,4% en République Centrafricaine.
D’après Dr Békondji, une étude pilote a révélé que « 62% des enfants de 4 mois à 6 ans hospitalisés au complexe pédiatrique de Bangui n’étaient pas vaccinés, contre 37 seulement. De tous ces enfants, seulement 5% avaient développé l’infection de l’hépatite B ».
Toujours selon elle, à l’origine du projet, des « enfants sains » c'est-à-dire n’ayant jamais contracté le virus de l’hépatite B ont été vaccinés. C’est la suite de cette campagne qui leur a permis d’orienter la vaccination contre l’hépatite B vers les enfants les plus démunis, notamment ceux de l’orphelinat Action pour la Compassion en Centrafrique.
Au sujet de l’étude, la responsable scientifique du projet et épidémiologiste à l’Institut Pasteur de Paris, Dr Muriel Vray, a fait savoir qu’elle a été financée par l’Institut Pasteur de Paris dans trois pays que sont : le Cameroun, le Sénégal et la République Centrafricaine.
L’objectif de ces études vise à disposer de données estimatives sur la couverture vaccinale de l’hépatite B chez les enfants, de même que sa prévalence. Pour ce faire, 1786 enfants ont été identifiés dont 535 en RCA, 733 au Cameroun et 486 au Sénégal.
Selon Dr Muriel Vray, l’analyse du projet dans les pays où le vaccin de l’hépatite B a été introduit plus tôt dans le PEV montre une grande efficacité de ce vaccin avec une protection qui se situe entre 88 et 94%. « Nous avons retrouvé ces chiffres de bonne protection au Cameroun ; au Sénégal on a des chiffres un peu plus mauvais. En RCA on constate que le vaccin est en train de pénétrer avec le PEV et c’est un point positif », a-t-elle souligné.
En dehors de la vaccination des orphelins d’Action pour la Compassion en Centrafrique, l’Institut Pasteur de Bangui va poursuivre les actions de ce projet qui consiste à administrer en trois doses du vaccin, une dose le premier jour, une dose le mois suivant et un rappel six mois plus tard.
D’après Dr Békondji, une étude pilote a révélé que « 62% des enfants de 4 mois à 6 ans hospitalisés au complexe pédiatrique de Bangui n’étaient pas vaccinés, contre 37 seulement. De tous ces enfants, seulement 5% avaient développé l’infection de l’hépatite B ».
Toujours selon elle, à l’origine du projet, des « enfants sains » c'est-à-dire n’ayant jamais contracté le virus de l’hépatite B ont été vaccinés. C’est la suite de cette campagne qui leur a permis d’orienter la vaccination contre l’hépatite B vers les enfants les plus démunis, notamment ceux de l’orphelinat Action pour la Compassion en Centrafrique.
Au sujet de l’étude, la responsable scientifique du projet et épidémiologiste à l’Institut Pasteur de Paris, Dr Muriel Vray, a fait savoir qu’elle a été financée par l’Institut Pasteur de Paris dans trois pays que sont : le Cameroun, le Sénégal et la République Centrafricaine.
L’objectif de ces études vise à disposer de données estimatives sur la couverture vaccinale de l’hépatite B chez les enfants, de même que sa prévalence. Pour ce faire, 1786 enfants ont été identifiés dont 535 en RCA, 733 au Cameroun et 486 au Sénégal.
Selon Dr Muriel Vray, l’analyse du projet dans les pays où le vaccin de l’hépatite B a été introduit plus tôt dans le PEV montre une grande efficacité de ce vaccin avec une protection qui se situe entre 88 et 94%. « Nous avons retrouvé ces chiffres de bonne protection au Cameroun ; au Sénégal on a des chiffres un peu plus mauvais. En RCA on constate que le vaccin est en train de pénétrer avec le PEV et c’est un point positif », a-t-elle souligné.
En dehors de la vaccination des orphelins d’Action pour la Compassion en Centrafrique, l’Institut Pasteur de Bangui va poursuivre les actions de ce projet qui consiste à administrer en trois doses du vaccin, une dose le premier jour, une dose le mois suivant et un rappel six mois plus tard.