La ministre Annie-Gisèle Pana a indiqué que l’objectif de la célébration de cette journée dédiée à la femme rurale par les Nations Unies, le gouvernement et les partenaires, est de rendre un hommage mérité à toutes les braves femmes rurales du monde entier, de la Centrafrique et plus particulièrement à celles de la ville de Bossangoa, courageuses et résilientes face à la crise que le pays a connue.
Le membre du gouvernement a souligné que c’est grâce à la signature de l’accord politique pour la paix et la réconciliation nationale (APPR-RCA), entre le gouvernement et les groupes armés, dont la résultante est la paix qui est revenue et qui se consolide dans le pays, et qui permet aujourd’hui aux femmes des provinces de se remettre au travail.
« Constituées de la majorité de la main-d’œuvre dans les champs, les femmes sont de plus en plus nombreuses à occuper l’espace agricole qui demeure d’abord leur première activité productrice, génératrice de revenu dans leur foyer dans les activités de petit commerce », a expliqué Annie-Gisèle Pana.
Elle a relevé que face aux enjeux, ces femmes deviennent de plus en plus fragiles avec les problèmes de santé dans la famille et de l’éducation des enfants qui restent au centre de leur préoccupation.
« L’autonomisation socioéconomique a été pris en compte dans un document de stratégie élaboré par le ministère de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’Enfant avec l’appui des partenaires en cours de validation par le gouvernement », a révélé Annie-Gisèle Pana.
Il sied de rappeler que la journée internationale de la femme rurale a trouvé son origine en Chine en 1995, où les femmes membres de la fédération internationale des producteurs agricoles, présentes à la 4ème conférence internationale des femmes avaient décidé de mettre en exergue la contribution de la femme rurale dans la sécurité alimentaire et le développement.
Le membre du gouvernement a souligné que c’est grâce à la signature de l’accord politique pour la paix et la réconciliation nationale (APPR-RCA), entre le gouvernement et les groupes armés, dont la résultante est la paix qui est revenue et qui se consolide dans le pays, et qui permet aujourd’hui aux femmes des provinces de se remettre au travail.
« Constituées de la majorité de la main-d’œuvre dans les champs, les femmes sont de plus en plus nombreuses à occuper l’espace agricole qui demeure d’abord leur première activité productrice, génératrice de revenu dans leur foyer dans les activités de petit commerce », a expliqué Annie-Gisèle Pana.
Elle a relevé que face aux enjeux, ces femmes deviennent de plus en plus fragiles avec les problèmes de santé dans la famille et de l’éducation des enfants qui restent au centre de leur préoccupation.
« L’autonomisation socioéconomique a été pris en compte dans un document de stratégie élaboré par le ministère de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’Enfant avec l’appui des partenaires en cours de validation par le gouvernement », a révélé Annie-Gisèle Pana.
Il sied de rappeler que la journée internationale de la femme rurale a trouvé son origine en Chine en 1995, où les femmes membres de la fédération internationale des producteurs agricoles, présentes à la 4ème conférence internationale des femmes avaient décidé de mettre en exergue la contribution de la femme rurale dans la sécurité alimentaire et le développement.