Organisée par le ministère de la Famille, des Affaires sociales et de la solidarité nationale en partenariat avec le Bureau de l'Organisation des Nations-Unies en Centrafrique (Bonuca) le thème de l'édition 2008 de cette journée est "Droit à la participation: être vus, être entendus".
L'organisation de cette journée chaque année offre l'opportunité aux autorités politiques, à la société civile africaines ainsi qu'à la communauté internationale de faire une sorte de bilan des textes internationaux relatifs au droit et à la protection de l'enfant.
"Cette journée nous interpelle tous face aux violations des droits de l’enfant dans l’obligation de prendre l’engagement, de mener des actions qui contribuent à combattre les violences dont sont victimes les enfants et les jeunes filles en particulier", a fait remarquer la chef de section Droits de l'homme du Bonuca Mme Angèle Kinouani.
Elle a par ailleurs rassuré la population de la totale disponobilité du Bonuca à appuyer les efforts du gouvernement dans le sens du respect de la convention des droits de l'homme et de la protection de l'enfant que la République Centrafricaine a ratifiée en 1991.
Le secrétaire général du parlement junior M. Cyrille Ngarangbi pour sa part interpellé les autorités, les parents ainsi que la communauté internationale sur l'implication de l'enfant dans la prise de décisions, la réinsertion des enfants soldats dans les zones de conflit, l'application des textes relatifs aux droits de l'homme et des instruments juridiques liés à la protection de l'enfant.
L'épouse du chef de l'Etat Mme Monique Bozizé après avoir déclaré qu'elle était "disposée à plaider en faveur de l'enfant centrafricain pour l'amélioration de ses conditions de vie", a demandé à la population d'apprendre à respecter les droits de l'enfant, à l'écouter et à l'assister en cas de besoin.
Il faut rappeler que la journée de l’Enfant Africain est célébrée chaque année en hommage aux enfants victimes des événements du 16 juin 1976 à Soweto en Afrique du Sud. Ils s'agit d'une centaine d'élèves de couleur qui avaient organisé une pacifique pour protester contre l’obligation qui leur était faite de suivre les enseignements dans les principales langues de la communauté blanche dans une Afrique du Sud dominés par l’apartheid.
L'organisation de cette journée chaque année offre l'opportunité aux autorités politiques, à la société civile africaines ainsi qu'à la communauté internationale de faire une sorte de bilan des textes internationaux relatifs au droit et à la protection de l'enfant.
"Cette journée nous interpelle tous face aux violations des droits de l’enfant dans l’obligation de prendre l’engagement, de mener des actions qui contribuent à combattre les violences dont sont victimes les enfants et les jeunes filles en particulier", a fait remarquer la chef de section Droits de l'homme du Bonuca Mme Angèle Kinouani.
Elle a par ailleurs rassuré la population de la totale disponobilité du Bonuca à appuyer les efforts du gouvernement dans le sens du respect de la convention des droits de l'homme et de la protection de l'enfant que la République Centrafricaine a ratifiée en 1991.
Le secrétaire général du parlement junior M. Cyrille Ngarangbi pour sa part interpellé les autorités, les parents ainsi que la communauté internationale sur l'implication de l'enfant dans la prise de décisions, la réinsertion des enfants soldats dans les zones de conflit, l'application des textes relatifs aux droits de l'homme et des instruments juridiques liés à la protection de l'enfant.
L'épouse du chef de l'Etat Mme Monique Bozizé après avoir déclaré qu'elle était "disposée à plaider en faveur de l'enfant centrafricain pour l'amélioration de ses conditions de vie", a demandé à la population d'apprendre à respecter les droits de l'enfant, à l'écouter et à l'assister en cas de besoin.
Il faut rappeler que la journée de l’Enfant Africain est célébrée chaque année en hommage aux enfants victimes des événements du 16 juin 1976 à Soweto en Afrique du Sud. Ils s'agit d'une centaine d'élèves de couleur qui avaient organisé une pacifique pour protester contre l’obligation qui leur était faite de suivre les enseignements dans les principales langues de la communauté blanche dans une Afrique du Sud dominés par l’apartheid.