Le grand défilé de cette année a été marqué par mobilisation générale de la population de la capitale, qu’il s’agisse des militaires ou des civiles.
Le défilé militaire a été dominé par les contingents des différents corps, tant militaires que paramilitaires. Il s’agit des différents corps des Forces Armées Centrafricaine (FACA), de la gendarmerie, de la Police, des Eaux et Forêts, de la douane, de la Jeunesse Pionnière Nationale (JPN) ainsi qu’une section des anciens combattants.
Pour ce qui concerne le défilé civil, il a provoqué le déferlement des préscolaires, des écoliers, des élèves, des fonctionnaires et également des acteurs du secteur privé, quel que soit leur domaine d’activités, ainsi que des militants des partis politiques et des acteurs culturels.
Pour démontrer ce dont ils sont capables, militaires et civils ont déployé des unités motorisées et des chars, suivant leurs secteurs d’activités.
Le 1er décembre de chaque année rappelle aux Centrafricains la renonciation à l’appellation coloniale de l’Oubangui-Chari par Barthélemy Boganda, ancien président, qui a choisi l’appellation de République Centrafricaine.
Le défilé militaire a été dominé par les contingents des différents corps, tant militaires que paramilitaires. Il s’agit des différents corps des Forces Armées Centrafricaine (FACA), de la gendarmerie, de la Police, des Eaux et Forêts, de la douane, de la Jeunesse Pionnière Nationale (JPN) ainsi qu’une section des anciens combattants.
Pour ce qui concerne le défilé civil, il a provoqué le déferlement des préscolaires, des écoliers, des élèves, des fonctionnaires et également des acteurs du secteur privé, quel que soit leur domaine d’activités, ainsi que des militants des partis politiques et des acteurs culturels.
Pour démontrer ce dont ils sont capables, militaires et civils ont déployé des unités motorisées et des chars, suivant leurs secteurs d’activités.
Le 1er décembre de chaque année rappelle aux Centrafricains la renonciation à l’appellation coloniale de l’Oubangui-Chari par Barthélemy Boganda, ancien président, qui a choisi l’appellation de République Centrafricaine.