Instituée par les Nations Unies, cette journée vise à condamner l’ensemble des attaques de tout genre contre les journalistes. Elle engage les Etats à prévenir les violences contre le journaliste afin de traduire les auteurs de ces crimes devant la justice, et de créer un environnement propice permettant aux journalistes d’exercer leur métier en toute quiétude
Par ailleurs, le Secrétaire général de l’UJCA, Apollinaire-Modeste Ngoumbassa-Komy a dénoncé les multiples agressions commises contre les journalistes dans l’exercice de leur fonction, et le blocage du processus d’adoption de la loi sur la liberté de la communication en Centrafrique.
Selon lui, les membres de l’UJCA ont recommandé aux autorités centrafricaines d’appliquer la déclaration de Carthage du 3 mai 2012 qui exhorte les Etats membres de l’Organisation des Nations-unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO) à créer un environnement libre et sûr pour les journalistes, et soutenir la mise en œuvre du plan d’action des Nations Unies sur la sécurité des journalistes et la question d’impunité.
Il a souligné que les défis auxquels les journalistes centrafricains font face dans l’exercice de leur fonction sont nombreux. En effet, il les a exhortés à se mobiliser dans un esprit de solidarité pour barrer la route à l’impunité pour des crimes commis sur les professionnels des média centrafricains.
Au terme de cette manifestation, les journalistes ont mis en place une structure d’alerte qui aura pour mission de veiller sur les cas d’agression contre les professionnels des média.
Il convient de rappeler que le 2 novembre 2013, date à laquelle deux journalistes français, notamment Ghislaine Dupond et Claude Verlan ont été assassinés au Mali, a amené les Nations Unies à instituer cette date en 2014 pour lutter contre l’impunité et garantir l’environnement de travail des journalistes dans le monde.
Par ailleurs, le Secrétaire général de l’UJCA, Apollinaire-Modeste Ngoumbassa-Komy a dénoncé les multiples agressions commises contre les journalistes dans l’exercice de leur fonction, et le blocage du processus d’adoption de la loi sur la liberté de la communication en Centrafrique.
Selon lui, les membres de l’UJCA ont recommandé aux autorités centrafricaines d’appliquer la déclaration de Carthage du 3 mai 2012 qui exhorte les Etats membres de l’Organisation des Nations-unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO) à créer un environnement libre et sûr pour les journalistes, et soutenir la mise en œuvre du plan d’action des Nations Unies sur la sécurité des journalistes et la question d’impunité.
Il a souligné que les défis auxquels les journalistes centrafricains font face dans l’exercice de leur fonction sont nombreux. En effet, il les a exhortés à se mobiliser dans un esprit de solidarité pour barrer la route à l’impunité pour des crimes commis sur les professionnels des média centrafricains.
Au terme de cette manifestation, les journalistes ont mis en place une structure d’alerte qui aura pour mission de veiller sur les cas d’agression contre les professionnels des média.
Il convient de rappeler que le 2 novembre 2013, date à laquelle deux journalistes français, notamment Ghislaine Dupond et Claude Verlan ont été assassinés au Mali, a amené les Nations Unies à instituer cette date en 2014 pour lutter contre l’impunité et garantir l’environnement de travail des journalistes dans le monde.