Passage du personnel du ministère de la Communication devant les officiels
Le grand défilé, qui a été précédé d’une remise de décoration à seize travailleurs élevés par le chef de l’Etat au grade de commandeur dans l’ordre du mérite centrafricain, a vu la participation des travailleurs des secteurs public et privé ainsi que des travailleurs affiliés aux différentes centrales syndicales.
Arborant des banderoles sur lesquelles étaient inscrites certaines de leurs revendications, ces travailleurs relevant des différentes institutions de la République, entre autres ceux de la présidence de la République, de l’Assemblée nationale et de la primature, voire des autres corps de l’administration, des secteurs formel et informel, composés d’hommes et de femmes drapées dans de belles tenues uniformes de toutes les couleurs ont défilé au son de la fanfare de la police et des Kimbaguistes.
Au passage de leurs collaborateurs, les responsables des institutions de la République, les chefs des départements ministériels étaient debout pour les applaudir d’avoir montré leur appartenance à l’entité concernée.
Médard Médété Gréngbo, l’un des membres de l’Organisation démocrate syndicale des travailleurs centrafricains (ODSTC), qui a pris part à ce défilé, a souligné que cette journée a été instituée pour rappeler à tous les travailleurs la longue lutte qu’ils ont menée pour la défense de leurs droits et pour l’amélioration de leurs conditions de travail.
Il a invité le gouvernement à revoir les grilles salariales des Centrafricains afin que chaque travailleur puisse vivre avec sa famille dans des conditions décentes et un confort relatif.
Pour Eudoxie Nembi, du ministère des Finances et du Budget, le gouvernement a intérêt à s’occuper de ses travailleurs plutôt que d’attendre cette journée pour les mettre en valeur.
Il convient de signaler que la célébration de la fête du travail intervient au moment où le gouvernement et les syndicats sont en négociation autour de revendications salariales formulées par la coordination des centrales syndicales.
Arborant des banderoles sur lesquelles étaient inscrites certaines de leurs revendications, ces travailleurs relevant des différentes institutions de la République, entre autres ceux de la présidence de la République, de l’Assemblée nationale et de la primature, voire des autres corps de l’administration, des secteurs formel et informel, composés d’hommes et de femmes drapées dans de belles tenues uniformes de toutes les couleurs ont défilé au son de la fanfare de la police et des Kimbaguistes.
Au passage de leurs collaborateurs, les responsables des institutions de la République, les chefs des départements ministériels étaient debout pour les applaudir d’avoir montré leur appartenance à l’entité concernée.
Médard Médété Gréngbo, l’un des membres de l’Organisation démocrate syndicale des travailleurs centrafricains (ODSTC), qui a pris part à ce défilé, a souligné que cette journée a été instituée pour rappeler à tous les travailleurs la longue lutte qu’ils ont menée pour la défense de leurs droits et pour l’amélioration de leurs conditions de travail.
Il a invité le gouvernement à revoir les grilles salariales des Centrafricains afin que chaque travailleur puisse vivre avec sa famille dans des conditions décentes et un confort relatif.
Pour Eudoxie Nembi, du ministère des Finances et du Budget, le gouvernement a intérêt à s’occuper de ses travailleurs plutôt que d’attendre cette journée pour les mettre en valeur.
Il convient de signaler que la célébration de la fête du travail intervient au moment où le gouvernement et les syndicats sont en négociation autour de revendications salariales formulées par la coordination des centrales syndicales.