Le Premier-ministre Firmin Ngrébada déposant une gerbe de fleurs au pied du monument des martyrs, le 11 mai à Bangui
Célébrer le 11 mai, c’est faire le devoir de mémoire, placer les victimes au cœur de la réconciliation sans laquelle le relèvement et la reconstruction de la République centrafricaine ne seront pas effectives, a expliqué le chef du gouvernement, ajoutant qu’il s’agit de rendre hommage et de se souvenir des victimes disparues, mais également d’avoir une pensée pour ceux qui ont la chance de survivre.
Pour parvenir à une paix durable et à la réconciliation véritable, il est indispensable que la justice soit rendue aux victimes et qu’elles soient réparées des dommages subis, a également souligné Firmin Ngrébada pour qui le slogan du 11 mai 2019, à savoir « Non à l’impunité et oui à la réparation pour les victimes des crises militaro-politiques en Centrafrique » vient à point nommé après la signature de l’Accord politique de paix et de réconciliation du 6 février 2019 avec 14 groupes armés.
Faisant suite à une recommandation du Forum national de Bangui (4 au 11 mai 2015), la décision d’instituer une journée en mémoire de victimes des crises militaro-politiques en République Centrafricaine est traduite par le Décret numéro 160.195 du 24 mars 2016.
Il convient de signaler qu’une seconde cérémonie a eu lieu au lycée de Fatima, dans le 3ème arrondissement de Bangui, où la ministre de l’Action humanitaire et de la réconciliation nationale, Virginie M’baïkoua, a déposé une gerbe de fleurs au pied du monument dédié aux victimes des conflits.
Jonas Bissanguim / ACAP
Pour parvenir à une paix durable et à la réconciliation véritable, il est indispensable que la justice soit rendue aux victimes et qu’elles soient réparées des dommages subis, a également souligné Firmin Ngrébada pour qui le slogan du 11 mai 2019, à savoir « Non à l’impunité et oui à la réparation pour les victimes des crises militaro-politiques en Centrafrique » vient à point nommé après la signature de l’Accord politique de paix et de réconciliation du 6 février 2019 avec 14 groupes armés.
Faisant suite à une recommandation du Forum national de Bangui (4 au 11 mai 2015), la décision d’instituer une journée en mémoire de victimes des crises militaro-politiques en République Centrafricaine est traduite par le Décret numéro 160.195 du 24 mars 2016.
Il convient de signaler qu’une seconde cérémonie a eu lieu au lycée de Fatima, dans le 3ème arrondissement de Bangui, où la ministre de l’Action humanitaire et de la réconciliation nationale, Virginie M’baïkoua, a déposé une gerbe de fleurs au pied du monument dédié aux victimes des conflits.
Jonas Bissanguim / ACAP