« C’est seulement par le dialogue que la République Centrafricaine pourra retrouver la voie du redressement et du développement », a affirmé, le 14 mai dernier dans une déclaration le Commissaire au Développement et à l’Aide humanitaire de l’Union européenne, M. Louis Michel.
Le Commissaire européen a invité toutes les parties en présence au « respect de l’Accord de cessez-le-feu et à la mise en œuvre rapide de l’Accord de paix à laquelle la Commission européenne est prête à apporter son concours ».
Il a également appelé tous les acteurs à « participer à la mise en place du programme de pôles de Développement en Centrafrique avec l’appui financier de la Commission européenne, contribuant ainsi à la stabilité, la paix, la réduction de la pauvreté et la réinsertion des ex-combattants ».
Effectuant à Bangui, en mars 2007, la première visite d’un Commissaire européen depuis 30 ans, M. Louis Michel avait annoncé l’engagement de Bruxelles à faire de la République Centrafricaine « un cas d’école » et salué la « volonté d'ouverture et de dialogue» exprimé par le président François Bozizé.
A la faveur de cette visite, la Délégation de l’Union européenne avait signé avec le gouvernement centrafricain deux conventions pour un montant global de 68,5 millions d'euros et alloué à ce dernier, pour la période 2008–2013 une enveloppe de 109 millions d'euros au titre du 10ème Fonds européen de développement, avec la possibilité d'une augmentation de 25% de ce montant par la tranche incitative qui touche essentiellement à des projets dans le domaine de la gouvernance au sens le plus large du terme.
Le 10ème Fed, vise à créer plusieurs pôles de développement comportant tous les services déconcentrés de l'Etat (éducation, santé, eau, assainissement, infrastructures, communication, justice, police, énergie) et susceptibles, selon le Commissaire européen, de « générer rapidement, partout dans le pays, des activités économiques » offrant à la jeunesse de vraies perspectives et permettant de consolider la sécurité et l'autorité de l'Etat.
Principal partenaire au développement de la République Centrafricaine, l’Union européenne a contribué à la construction d’un camp militaire pour la Force multinationale de la Cemac inauguré par le président Bozizé le 3 avril 2008 à Paoua (500 km au nord-ouest de Bangui), localité affectée par les affrontements entre les forces régulières et les rebelles de l’Aprd.
Le Commissaire européen a invité toutes les parties en présence au « respect de l’Accord de cessez-le-feu et à la mise en œuvre rapide de l’Accord de paix à laquelle la Commission européenne est prête à apporter son concours ».
Il a également appelé tous les acteurs à « participer à la mise en place du programme de pôles de Développement en Centrafrique avec l’appui financier de la Commission européenne, contribuant ainsi à la stabilité, la paix, la réduction de la pauvreté et la réinsertion des ex-combattants ».
Effectuant à Bangui, en mars 2007, la première visite d’un Commissaire européen depuis 30 ans, M. Louis Michel avait annoncé l’engagement de Bruxelles à faire de la République Centrafricaine « un cas d’école » et salué la « volonté d'ouverture et de dialogue» exprimé par le président François Bozizé.
A la faveur de cette visite, la Délégation de l’Union européenne avait signé avec le gouvernement centrafricain deux conventions pour un montant global de 68,5 millions d'euros et alloué à ce dernier, pour la période 2008–2013 une enveloppe de 109 millions d'euros au titre du 10ème Fonds européen de développement, avec la possibilité d'une augmentation de 25% de ce montant par la tranche incitative qui touche essentiellement à des projets dans le domaine de la gouvernance au sens le plus large du terme.
Le 10ème Fed, vise à créer plusieurs pôles de développement comportant tous les services déconcentrés de l'Etat (éducation, santé, eau, assainissement, infrastructures, communication, justice, police, énergie) et susceptibles, selon le Commissaire européen, de « générer rapidement, partout dans le pays, des activités économiques » offrant à la jeunesse de vraies perspectives et permettant de consolider la sécurité et l'autorité de l'Etat.
Principal partenaire au développement de la République Centrafricaine, l’Union européenne a contribué à la construction d’un camp militaire pour la Force multinationale de la Cemac inauguré par le président Bozizé le 3 avril 2008 à Paoua (500 km au nord-ouest de Bangui), localité affectée par les affrontements entre les forces régulières et les rebelles de l’Aprd.