Centrafrique/économie :
M. Brendan Horton, chef de mission et Nestor Ntungnanaya qui représentaient la Banque mondiale à cette réunion tenue au centre culturel Bé oko ont précisé les tenants de cette stratégie qui se résument en quatre piliers, à savoir : accompagner le gouvernement dans le processus du renforcement de la sécurité et de la paix sociale, renforcer le secteur de l’économie nationale, promouvoir les services sociaux surtout dans la lutte contre le VIH/sida, les soins de santé primaire et appuyer le gouvernement et la société civile dans l’élaboration du document cadre de la stratégie de développement du pays.
M. Horton a relevé que la Banque mondiale n’impose pas de conditionnalités à la RCA, précisant que cette institution demande simplement au gouvernement de « réaliser les objectifs communément fixés, surtout dans le domaine de la bonne gouvernance et la promotion de la paix sociale ».
Les représentants de la société civile ont apprécié l’initiative des institutions financières internationales qui ont choisi la manière directe pour expliquer le processus pouvant aider la République Centrafricaine à accéder à un vrai programme PPTE.
Ils ont regretté la lourdeur due aux exigences de la Banque mondiale dans l’aboutissement des programmes, alors que les populations souffrent atrocement.
La mission conjointe Banque mondiale, FMI et BAD qui va boucler ses travaux le 26 août prochain, est à Bangui depuis le 4 août dernier pour évaluer les objectifs arrêtés en commun avec le gouvernement Centrafricain à l’issue d’une mission conjointe en mai dernier.
M. Brendan Horton, chef de mission et Nestor Ntungnanaya qui représentaient la Banque mondiale à cette réunion tenue au centre culturel Bé oko ont précisé les tenants de cette stratégie qui se résument en quatre piliers, à savoir : accompagner le gouvernement dans le processus du renforcement de la sécurité et de la paix sociale, renforcer le secteur de l’économie nationale, promouvoir les services sociaux surtout dans la lutte contre le VIH/sida, les soins de santé primaire et appuyer le gouvernement et la société civile dans l’élaboration du document cadre de la stratégie de développement du pays.
M. Horton a relevé que la Banque mondiale n’impose pas de conditionnalités à la RCA, précisant que cette institution demande simplement au gouvernement de « réaliser les objectifs communément fixés, surtout dans le domaine de la bonne gouvernance et la promotion de la paix sociale ».
Les représentants de la société civile ont apprécié l’initiative des institutions financières internationales qui ont choisi la manière directe pour expliquer le processus pouvant aider la République Centrafricaine à accéder à un vrai programme PPTE.
Ils ont regretté la lourdeur due aux exigences de la Banque mondiale dans l’aboutissement des programmes, alors que les populations souffrent atrocement.
La mission conjointe Banque mondiale, FMI et BAD qui va boucler ses travaux le 26 août prochain, est à Bangui depuis le 4 août dernier pour évaluer les objectifs arrêtés en commun avec le gouvernement Centrafricain à l’issue d’une mission conjointe en mai dernier.