Le président de la BIDC, Christian Adovelande, a confirmé les discussions lors d'une visite cette semaine chez Embrapa, l'agence brésilienne de la recherche agricole et de l'élevage, basée à Brasilia.
M. Adovelande a rejeté la notion que les investissements dans le biocarburant pourraient amener quelques pays à réduire leur production alimentaire afin de réserver les champs pour le biocarburant.
"Nous avons suffisament de champs pour les deux choses et nous comptons sur la technologie d'Embrapa pour moderniser notre agriculture", a expliqué M. Adovelande.
Le directeur du fonds de biocarburant et de l'énergie renouvelable de la BIDC, Thiermo Bocar Tall, a déclaré que la hausse du prix de l'énergie est devenue une grande préoccupation pour les pays de l'Afrique de l'Ouest.
"L'augmentation du prix du pétrole a une influence directe sur l'aggravation de la pauvreté dans la région", a indiqué M. Tall.
Selon les responsables de la BIDC, les deux côtés ont signé un protocole d'entente sur la coopération.
"L'accord est une étape importante de l'échelle régionale afin de garantir une future indépendance énergétique et une amélioration de la façon de vivre des pays concernés", a souligné M. Tall.
Le Brésil est le plus grand producteur et exportateur du monde d'éthanol, souvent fabriqué à partir de canne à sucre, et il a une expérience de trois décennies dans la production de biocarburant. Le pays dirige maintenant une campagne mondiale afin de promouvoir la production et la consommation de ces carburants écolos qui sont une alternative à l'essence.
Embrapa, considéré comme le plus grand centre de recherche sur l'agriculture tropicale dans le monde, a participé au développement des technologies biocarburants du Brésil et a un accord afin de les transférer aux autres pays en voie de développement.
Les 15 pays qui bénéficieront de cet accord ont une population de 260 millions de personnes.
M. Adovelande a rejeté la notion que les investissements dans le biocarburant pourraient amener quelques pays à réduire leur production alimentaire afin de réserver les champs pour le biocarburant.
"Nous avons suffisament de champs pour les deux choses et nous comptons sur la technologie d'Embrapa pour moderniser notre agriculture", a expliqué M. Adovelande.
Le directeur du fonds de biocarburant et de l'énergie renouvelable de la BIDC, Thiermo Bocar Tall, a déclaré que la hausse du prix de l'énergie est devenue une grande préoccupation pour les pays de l'Afrique de l'Ouest.
"L'augmentation du prix du pétrole a une influence directe sur l'aggravation de la pauvreté dans la région", a indiqué M. Tall.
Selon les responsables de la BIDC, les deux côtés ont signé un protocole d'entente sur la coopération.
"L'accord est une étape importante de l'échelle régionale afin de garantir une future indépendance énergétique et une amélioration de la façon de vivre des pays concernés", a souligné M. Tall.
Le Brésil est le plus grand producteur et exportateur du monde d'éthanol, souvent fabriqué à partir de canne à sucre, et il a une expérience de trois décennies dans la production de biocarburant. Le pays dirige maintenant une campagne mondiale afin de promouvoir la production et la consommation de ces carburants écolos qui sont une alternative à l'essence.
Embrapa, considéré comme le plus grand centre de recherche sur l'agriculture tropicale dans le monde, a participé au développement des technologies biocarburants du Brésil et a un accord afin de les transférer aux autres pays en voie de développement.
Les 15 pays qui bénéficieront de cet accord ont une population de 260 millions de personnes.