L’objectif recherché est d’évaluer les dispositifs que l’Autorité Nationale de l’Aviation Civile a mis en place pour les passagers qui débarquent ainsi que ceux qui sont en position d’embarquement, afin d’éviter la propagation de la pandémie à coronavirus.
Le Directeur général de l’ANAC a expliqué que les deux circuits sont les mêmes. Au départ il est obligatoirement établi le circuit de désinfection des mains et la prise de température. Si celle-ci est supérieure à 38°, on vérifie les symptômes. Et si le passager présente des symptômes du COVID-19, il est conduit à l’isolement donc ne prend pas l’avion. Dans le cas où la température est normale, il continue normalement son circuit jusqu’à l’embarquement.
Par contre, pour le circuit arrivé, si le passager a une température supérieure à 38°, on l’oriente vers un hangar aménagé il est mis à la disposition d’un médecin pour une investigation approfondie. Si la température est normale, c’est- à dire inférieure ou égale à 37°, la personne continue son circuit classique jusqu’aux bagages. Tout ceci en respectant la distanciation physique d’au moins un mètre, a ajouté le Directeur général de l’ANAC.
Le responsable de l’ANAC a indiqué que toutes ces mesures seront compilées dans un document que son institution appelle « procédure » qui permettra à chaque agent de l’aéroport de mettre en application ces mesures de sûreté et sanitaire pour lutter contre le COVID-19
Edly-François Follo a précisé que le premier vol test a eu lieu le 23 juin dernier et le second le 7 juillet. A l’issu de ces vols et ces dispositifs, le gouvernement va examiner le rapport et s’il estime que l’aéroport international Bangui M’Poko est prêt pour recevoir des vols internationaux, il décidera de la date de la réouverture dudit aéroport.
Il convient de rappeler que les plus hautes autorités ont décidé de fermer l’aéroport international Bangui M’Poko, après la découverte du premier cas du COVID-19, le 14 mars dernier afin d’éviter le flux des cas importés.
Le Directeur général de l’ANAC a expliqué que les deux circuits sont les mêmes. Au départ il est obligatoirement établi le circuit de désinfection des mains et la prise de température. Si celle-ci est supérieure à 38°, on vérifie les symptômes. Et si le passager présente des symptômes du COVID-19, il est conduit à l’isolement donc ne prend pas l’avion. Dans le cas où la température est normale, il continue normalement son circuit jusqu’à l’embarquement.
Par contre, pour le circuit arrivé, si le passager a une température supérieure à 38°, on l’oriente vers un hangar aménagé il est mis à la disposition d’un médecin pour une investigation approfondie. Si la température est normale, c’est- à dire inférieure ou égale à 37°, la personne continue son circuit classique jusqu’aux bagages. Tout ceci en respectant la distanciation physique d’au moins un mètre, a ajouté le Directeur général de l’ANAC.
Le responsable de l’ANAC a indiqué que toutes ces mesures seront compilées dans un document que son institution appelle « procédure » qui permettra à chaque agent de l’aéroport de mettre en application ces mesures de sûreté et sanitaire pour lutter contre le COVID-19
Edly-François Follo a précisé que le premier vol test a eu lieu le 23 juin dernier et le second le 7 juillet. A l’issu de ces vols et ces dispositifs, le gouvernement va examiner le rapport et s’il estime que l’aéroport international Bangui M’Poko est prêt pour recevoir des vols internationaux, il décidera de la date de la réouverture dudit aéroport.
Il convient de rappeler que les plus hautes autorités ont décidé de fermer l’aéroport international Bangui M’Poko, après la découverte du premier cas du COVID-19, le 14 mars dernier afin d’éviter le flux des cas importés.