« La campagne pour l’élimination des Fistules obstétricales consistera en une prise en charge médicale des porteuses de Fistules et la réparation de fissure simultanément avec la formation pratique des médecins, infirmiers et sages femmes », a indiqué l’Associée au programme, chargée des relations extérieures au UNFPA, Julie Imafidon Bedan .
Elle a expliqué que la fistule obstétricale est, dans la plu part des cas, provoquée par un travail prolongé de la femme, au moment de l’accouchement. La pression prolongée de la tête du bébé dans le canal pelvien provoque une fissure soit entre l’utérus et le vagin, soit entre l’urètre et le vagin, soit enfin entre le rectum et le vagin.
« Cette fissure provoque un écoulement permanent des urines et, ou de la matière fécale dans le vagin, d’où la forte odeur qui se dégage de la porteuse de fistule », a-t-elle ajouté.
Elle a noté que la fistule obstétricale peut être réparée le cas échéant quelque soit la durée. Car, il s’agit d’une fissure que seule la chirurgie peut refermer.
L’UNFPA a demandé l’abandon des pratiques traditionnelles néfastes à la santé de la femme notamment les mariages précoces, les accouchements à domicile et les mutilations génitales féminines.
Selon l’UNPA, environ 3 millions de femmes dans le monde vivent avec une fistule obstétricale dont la plus part accouchent des bébés morts nés. Ces femmes sont stigmatisées, traitées de sorcières ou adultères, répudiées par leur mari et rejetées par leur communauté.
Il faut noter que le premier lancement de la campagne d’élimination des fistules obstétricales avait eu lieu le 27 mai 2009, à l’Hôpital préfectoral de Kaga Bandoro chef lieu de la Nana Gribidzi, pendant lequel trente quatre (34) cas de fistules ont été réparés et neuf (9) médecins ont été formés sur la prise en charge médicale et psychosociale des porteuses de fistules.
Elle a expliqué que la fistule obstétricale est, dans la plu part des cas, provoquée par un travail prolongé de la femme, au moment de l’accouchement. La pression prolongée de la tête du bébé dans le canal pelvien provoque une fissure soit entre l’utérus et le vagin, soit entre l’urètre et le vagin, soit enfin entre le rectum et le vagin.
« Cette fissure provoque un écoulement permanent des urines et, ou de la matière fécale dans le vagin, d’où la forte odeur qui se dégage de la porteuse de fistule », a-t-elle ajouté.
Elle a noté que la fistule obstétricale peut être réparée le cas échéant quelque soit la durée. Car, il s’agit d’une fissure que seule la chirurgie peut refermer.
L’UNFPA a demandé l’abandon des pratiques traditionnelles néfastes à la santé de la femme notamment les mariages précoces, les accouchements à domicile et les mutilations génitales féminines.
Selon l’UNPA, environ 3 millions de femmes dans le monde vivent avec une fistule obstétricale dont la plus part accouchent des bébés morts nés. Ces femmes sont stigmatisées, traitées de sorcières ou adultères, répudiées par leur mari et rejetées par leur communauté.
Il faut noter que le premier lancement de la campagne d’élimination des fistules obstétricales avait eu lieu le 27 mai 2009, à l’Hôpital préfectoral de Kaga Bandoro chef lieu de la Nana Gribidzi, pendant lequel trente quatre (34) cas de fistules ont été réparés et neuf (9) médecins ont été formés sur la prise en charge médicale et psychosociale des porteuses de fistules.