Bangui, 17 Sept. (ACAP) - Au nom de ses pairs du comité exécutif de la Fédération Centrafricaine de Football (FCF), M. Jean-Claude Tomoro, également chargé de communication, a rejeté la motion de défiance signée par sieur Jean-Bruno Vickos, président du club As Tempête MOCAF, pour vice de forme lors d’une conférence de presse, lundi 16 septembre 2013, à Bangui.
L’objectif de cette conférence de presse est de rendre publique la délibération des membres du comité exécutif du mardi 10 septembre 2013 relative à la motion de défiance déposée à leur encontre, conformément aux dispositions de l’article 48 tiret 2 des statuts de la Fédération Centrafricaine de Football qui disposent de 15 jours au moins à un mois au plus pour réagir.
D’après les conclusions du comité exécutif relayées par M. Jean-Claude Tomoro, il ressort de l’analyse de la motion de défiance les observations suivantes :
Premièrement, certains dirigeants des ligues signataires de la motion de défiance ont été victimes de menaces à main armées par des forces de défense et de sécurité.
Deuxièmement, les commanditaires de la motion de défiance ont abusé de la corruption vis-à-vis des signataires de la motion de défiance.
Troisièmement, les commanditaires de la motion de défiance ont fait usage du faux.
Quatrièmement, M. Jean-Claude Tomoro a soulevé le défaut de qualité des membres commanditaires et signataires de la motion de défiance, conformément aux dispositions de l’article 93 des textes de bases de la Fédération Centrafricaine de Football.
D’autres critiques ont porté sur le recours à un huissier de Justice alors que l’article 51 tiret 1 des statuts de la Fédération Centrafricaine de Football stipule que « les membres de la Fédération Centrafricaine de Football ne présenteront aucun litige devant aucune autre juridiction notamment devant les tribunaux ordinaires, à moins que cela ne soit spécifiquement stipulé dans les statuts et les règlements de la FIFA. Tout différend sera soumis à la Fédération centrafricaine de football, de la confédération africaine de football (CAF) ou de la Fédération Internationale de Football (FIFA) ».
Toujours selon M. Tomoro, les documents comportant les signatures des pétitionnaires sont antérieurs car signés du 18 juin au 21 août 2013 par rapport à la date de la correspondance tenant lieu de la motion de défiance signé par sieur Vickos, porte-parole des signataires le 30 août 2013.
Pour ces différentes raisons, les membres du comité exécutif de la Fédération Centrafricaine de Football, réunis sous la présidence du Vice-président de la FCF, M. Célestin Yanéndji, ont repoussé la motion de défiance à leur endroit.
Pour rappel, le 30 août dernier, le gardien du siège de la Fédération Centrafricaine de Football avait reçu un pli portant la motion « dépôt de la motion de défiance » par les soins d’un huissier de justice et signé de Monsieur Jean-Bruno Vickos.
L’objectif de cette conférence de presse est de rendre publique la délibération des membres du comité exécutif du mardi 10 septembre 2013 relative à la motion de défiance déposée à leur encontre, conformément aux dispositions de l’article 48 tiret 2 des statuts de la Fédération Centrafricaine de Football qui disposent de 15 jours au moins à un mois au plus pour réagir.
D’après les conclusions du comité exécutif relayées par M. Jean-Claude Tomoro, il ressort de l’analyse de la motion de défiance les observations suivantes :
Premièrement, certains dirigeants des ligues signataires de la motion de défiance ont été victimes de menaces à main armées par des forces de défense et de sécurité.
Deuxièmement, les commanditaires de la motion de défiance ont abusé de la corruption vis-à-vis des signataires de la motion de défiance.
Troisièmement, les commanditaires de la motion de défiance ont fait usage du faux.
Quatrièmement, M. Jean-Claude Tomoro a soulevé le défaut de qualité des membres commanditaires et signataires de la motion de défiance, conformément aux dispositions de l’article 93 des textes de bases de la Fédération Centrafricaine de Football.
D’autres critiques ont porté sur le recours à un huissier de Justice alors que l’article 51 tiret 1 des statuts de la Fédération Centrafricaine de Football stipule que « les membres de la Fédération Centrafricaine de Football ne présenteront aucun litige devant aucune autre juridiction notamment devant les tribunaux ordinaires, à moins que cela ne soit spécifiquement stipulé dans les statuts et les règlements de la FIFA. Tout différend sera soumis à la Fédération centrafricaine de football, de la confédération africaine de football (CAF) ou de la Fédération Internationale de Football (FIFA) ».
Toujours selon M. Tomoro, les documents comportant les signatures des pétitionnaires sont antérieurs car signés du 18 juin au 21 août 2013 par rapport à la date de la correspondance tenant lieu de la motion de défiance signé par sieur Vickos, porte-parole des signataires le 30 août 2013.
Pour ces différentes raisons, les membres du comité exécutif de la Fédération Centrafricaine de Football, réunis sous la présidence du Vice-président de la FCF, M. Célestin Yanéndji, ont repoussé la motion de défiance à leur endroit.
Pour rappel, le 30 août dernier, le gardien du siège de la Fédération Centrafricaine de Football avait reçu un pli portant la motion « dépôt de la motion de défiance » par les soins d’un huissier de justice et signé de Monsieur Jean-Bruno Vickos.