« Cet atelier permettra à toutes les parties prenantes au mécanisme de processus de la REDD+ de contribuer à travers des amendements sur le fond et la forme du document en tenant compte des préoccupations de toutes les parties prenantes en vue de soumettre à la Banque Mondiale pour financement »,a indiqué le ministre François Naoueyama.
Pendant deux jours, les participants vont peaufiner, la mise en place d’une stratégie REDD+ efficace et équitable pour parvenir à une réduction de la déforestation et de la dégradation des forêts comprenant l’analyse des investissements et d’identification des ressources humaines nécessaires pour atteindre l’objectif ; l’établissement d’un scénario de référence des émissions de gaz à effet de serre provenant de la déforestation et de la dégradation des forêts ; la mise en place d’un système de suivi et de vérification du stock forestier national et des émissions des gaz.
Le ministre de l’Environnement et de l’Ecologie, François Naoueyama a fait savoir que, la question de l’évolution climatique, s’inscrit dans le problème plus large de développement durable. Par conséquent les politiques sur les climats ne peuvent être efficaces que lorsque des stratégies plus large ayant pour objectif le développement national et régional.
Il a annoncé que, selon les prévisions, le climat pourrait se réchauffer de 1,4°c à 5,8°c d’ici la fin du siècle et que la République Centrafricaine n’échappe pas à ces perturbations climatiques qui auront des conséquences négatives sur des vies humaines, des écosystèmes et l’économies de tous les pays du monde.
Il a souligné que, l’engagement de la République Centrafricaine des émissions liées à la Dégradation et la Déforestation offre l’opportunité à la République Centrafricaine d’élaborer une proposition à la préparation à la REDD+ et le RPP, étape pour bénéficier du mécanisme de préparation du fonds de partenariat pour le carbone forestier pour la mise en œuvre du processus REDD+ en Centrafrique.
Il faut rappeler que, la République Centrafrique a bénéficié d’un appui financier de l’Agence Française de Développement (AFD) à travers un programme conjoint W.W.F/AFD.
Pendant deux jours, les participants vont peaufiner, la mise en place d’une stratégie REDD+ efficace et équitable pour parvenir à une réduction de la déforestation et de la dégradation des forêts comprenant l’analyse des investissements et d’identification des ressources humaines nécessaires pour atteindre l’objectif ; l’établissement d’un scénario de référence des émissions de gaz à effet de serre provenant de la déforestation et de la dégradation des forêts ; la mise en place d’un système de suivi et de vérification du stock forestier national et des émissions des gaz.
Le ministre de l’Environnement et de l’Ecologie, François Naoueyama a fait savoir que, la question de l’évolution climatique, s’inscrit dans le problème plus large de développement durable. Par conséquent les politiques sur les climats ne peuvent être efficaces que lorsque des stratégies plus large ayant pour objectif le développement national et régional.
Il a annoncé que, selon les prévisions, le climat pourrait se réchauffer de 1,4°c à 5,8°c d’ici la fin du siècle et que la République Centrafricaine n’échappe pas à ces perturbations climatiques qui auront des conséquences négatives sur des vies humaines, des écosystèmes et l’économies de tous les pays du monde.
Il a souligné que, l’engagement de la République Centrafricaine des émissions liées à la Dégradation et la Déforestation offre l’opportunité à la République Centrafricaine d’élaborer une proposition à la préparation à la REDD+ et le RPP, étape pour bénéficier du mécanisme de préparation du fonds de partenariat pour le carbone forestier pour la mise en œuvre du processus REDD+ en Centrafrique.
Il faut rappeler que, la République Centrafrique a bénéficié d’un appui financier de l’Agence Française de Développement (AFD) à travers un programme conjoint W.W.F/AFD.