Le VIH/sida a été au centre des préoccupations. Les principales articulations ont porté sur les qualités de services dans les formations sanitaires (FOSA), le recyclage du personnel soignant ; l’insuffisance de supervision dans les centres de santé et l’absence d’outils de gestion de stock dans le FOSA.
Honorat Willibona Cokssis a évoqué les contraintes liées aux financements des programmes. Cela est caractérisé par la difficulté de décaissement des fonds alloués sur le budget de l’Etat ; l’absence d’un plan d’investissement auquel s’ajoute le réseau insignifiant des partenaires.
Pour le représentant de l’UNICEF, Docteur Serdouma, chargé de la santé maternelle et le VIH/sida, l’Etat doit s’impliquer dans la gestion de ces programmes et les intégrer les documents de références.
Pour le Docteur Octavie Ndanga, chef de service de la Prévention Transmis Parents et Enfants (PTPE), « les opérateurs économiques locaux doivent être impliqués dans les programmes qui concernent les personnes vivant avec le VIH/Sida. La sensibilisation est de mise pour diminuer le taux de VIH/Sida ».
Dans son mot de clôture, le Directeur de cabinet du Ministère de la Santé a insisté pour que rien ne soit négligé dans le domaine de la lutte contre le VIH/sida.
Honorat Willibona Cokssis a évoqué les contraintes liées aux financements des programmes. Cela est caractérisé par la difficulté de décaissement des fonds alloués sur le budget de l’Etat ; l’absence d’un plan d’investissement auquel s’ajoute le réseau insignifiant des partenaires.
Pour le représentant de l’UNICEF, Docteur Serdouma, chargé de la santé maternelle et le VIH/sida, l’Etat doit s’impliquer dans la gestion de ces programmes et les intégrer les documents de références.
Pour le Docteur Octavie Ndanga, chef de service de la Prévention Transmis Parents et Enfants (PTPE), « les opérateurs économiques locaux doivent être impliqués dans les programmes qui concernent les personnes vivant avec le VIH/Sida. La sensibilisation est de mise pour diminuer le taux de VIH/Sida ».
Dans son mot de clôture, le Directeur de cabinet du Ministère de la Santé a insisté pour que rien ne soit négligé dans le domaine de la lutte contre le VIH/sida.