Le but de cet atelier de relecture est d’élaborer une nouvelle loi prenant en compte tous les aspects du VIH/DIDA et intégrant la dimension des droits humains et du genre.
Le Ministre Jean-Christophe Nguinza a expliqué que la loi N°06.032 du 12 septembre 2006, bien que fixant les droits et obligations des personnes vivant avec le VIH/SIDA, possède tout de même quelques lacunes.
Il a souligné qu’il est donc nécessaire d’élaborer un nouvel instrument juridique spécifique qui traite de manière holistique les questions liées au VIH/SIDA.
Selon lui, cet atelier de relecture va donc permettre aux participants de passer en revue les derniers développements dans le domaine du VIH et d’intégrer certaines questions liées au dépistage des enfants ainsi que les violences basées sur le genre en lien avec le conflit et les populations clés (les personnes vulnérables).
Il a fait savoir que les problématiques soulevées par cette nouvelle loi sont entre autres l’accès à l’information sur le VIH/SIDA, l’éducation et la formation dans les écoles, les lieux de travail, les prisons, en lien avec la stigmatisation et la décriminalisation, voire la question des orphelins et des veuves.
Le Ministre Nguinza a remercié le directeur-pays de l’ONUSIDA pour l’appui permanent et sans faille qui a facilité l’élaboration de cette loi, et les autres partenaires technique et financier pour leur contribution en faveur de la prise en charge des personnes vivant avec le VIH/SIDA.
Il a en outre invité les participants à accorder une attention soutenue à la relecture et à l’enrichissement de ce texte en vue d’obtenir une loi de référence en matière du VIH/SIDA.
Quant au Coordinateur du Comité national de lutte contre le VIH/SIDA (CNLS), Sylvain-Wilfried Nambéï, "pour améliorer cette situation, il faut une meilleure collaboration entre les différents acteurs dont le ministère de la Justice afin de voler au secours des personnes vivant avec le VIH/SIDA".
Enfin, il a réitéré que de nos jours, le SIDA a dépassé les frontières de la prise en charge médicale et est devenu une problématique multisectorielle, allant de la prise en charge médicale, juridique et psychosocial des personnes victimes de ce fléau.
Le Ministre Jean-Christophe Nguinza a expliqué que la loi N°06.032 du 12 septembre 2006, bien que fixant les droits et obligations des personnes vivant avec le VIH/SIDA, possède tout de même quelques lacunes.
Il a souligné qu’il est donc nécessaire d’élaborer un nouvel instrument juridique spécifique qui traite de manière holistique les questions liées au VIH/SIDA.
Selon lui, cet atelier de relecture va donc permettre aux participants de passer en revue les derniers développements dans le domaine du VIH et d’intégrer certaines questions liées au dépistage des enfants ainsi que les violences basées sur le genre en lien avec le conflit et les populations clés (les personnes vulnérables).
Il a fait savoir que les problématiques soulevées par cette nouvelle loi sont entre autres l’accès à l’information sur le VIH/SIDA, l’éducation et la formation dans les écoles, les lieux de travail, les prisons, en lien avec la stigmatisation et la décriminalisation, voire la question des orphelins et des veuves.
Le Ministre Nguinza a remercié le directeur-pays de l’ONUSIDA pour l’appui permanent et sans faille qui a facilité l’élaboration de cette loi, et les autres partenaires technique et financier pour leur contribution en faveur de la prise en charge des personnes vivant avec le VIH/SIDA.
Il a en outre invité les participants à accorder une attention soutenue à la relecture et à l’enrichissement de ce texte en vue d’obtenir une loi de référence en matière du VIH/SIDA.
Quant au Coordinateur du Comité national de lutte contre le VIH/SIDA (CNLS), Sylvain-Wilfried Nambéï, "pour améliorer cette situation, il faut une meilleure collaboration entre les différents acteurs dont le ministère de la Justice afin de voler au secours des personnes vivant avec le VIH/SIDA".
Enfin, il a réitéré que de nos jours, le SIDA a dépassé les frontières de la prise en charge médicale et est devenu une problématique multisectorielle, allant de la prise en charge médicale, juridique et psychosocial des personnes victimes de ce fléau.