Organisé par le Fonds des Nations Unies pour la Population ( UNFPA), cet atelier vise à renforcer les capacités des femmes leaders centrafricaines aux techniques de plaidoyer et de mobilisation des ressources des participantes potentielles à la Table Ronde sur le Document Stratégique de Réduction de la Pauvreté (DSRP) deuxième génération.
Mais également de préparer la documentation sur les avancées des préparatifs de l’organisation de la Table Ronde Sectorielle genre et de la réduction de la pauvreté. Y compris la vulgarisation, l’application et l’utilisation des conventions 1325,1820 et 1888 contenues dans le processus de consolidation de la paix.
Mme Solange ZOCKO a expliqué que la République a ratifié plusieurs traités et Instruments juridiques internationaux sur la protection et la promotion des droits des femmes et des Enfants. Sur le plan national, tout un arsenal juridique est mis en place pour montrer cette volonté politique.
« Notre pays a adopté en 1997 le code de la famille condamnant certaines formes de violences et autres pratiques traditionnelles néfastes. », a-t-elle ajouté.
Elle a affirmé que le gouvernement continuera à réfléchir sur les mesures visant à assurer un environnement propice à la participation de la femme centrafricaine au développement national.
La Représentante Résidente de l’UNFPA, Mme Thérèse Zéba a estimé quant à elle que malgré ces acquis, l’égalité et l’équité restent parmi les priorités de l’Objectif du Millénaire de Développement (OMD) dans de nombreux pays moins avancé, y compris la République centrafricaine.
« Il n’y a pas de paix durable, pas de développement durable sans une égalité des sexes », a-t-elle martelé.
Selon elle, les progrès réalisés dans le domaine du renforcement des cadres normatif et législatif sur l’égalité de sexe n’ont pas été accompagnés d’une mise en œuvre soutenue. « Il faut, pour que cela se produise, que toutes les parties prenantes s’engagent pour soutenir un changement aboutissant à une transformation des relations hommes-femmes et la situation des femmes et des filles », a-t-elle déclarée.
Elle a remarqué que les engagements pris dans le but de faire progresser la question de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes nécessitent un renforcement significatif, à la fois au niveau macro économique (politiques nationales), intermédiaire (institutions) et opérationnel (au niveau du terrain).
Pour ce faire, elle a dit qu’une progression vers les objectifs de l’égalité des sexes nécessite la scolarisation des filles, leur permettant d’accéder à des postes de prise de décision.
Elle a précisé que « être former en plaidoyer , participer à la Table Ronde des donateurs n’est pas une fin en soi, c’est des instruments pour aller plus loin vers des objectifs préalablement établis au niveau des politiques et stratégies sectorielles genres en République Centrafricaine ».
Mais également de préparer la documentation sur les avancées des préparatifs de l’organisation de la Table Ronde Sectorielle genre et de la réduction de la pauvreté. Y compris la vulgarisation, l’application et l’utilisation des conventions 1325,1820 et 1888 contenues dans le processus de consolidation de la paix.
Mme Solange ZOCKO a expliqué que la République a ratifié plusieurs traités et Instruments juridiques internationaux sur la protection et la promotion des droits des femmes et des Enfants. Sur le plan national, tout un arsenal juridique est mis en place pour montrer cette volonté politique.
« Notre pays a adopté en 1997 le code de la famille condamnant certaines formes de violences et autres pratiques traditionnelles néfastes. », a-t-elle ajouté.
Elle a affirmé que le gouvernement continuera à réfléchir sur les mesures visant à assurer un environnement propice à la participation de la femme centrafricaine au développement national.
La Représentante Résidente de l’UNFPA, Mme Thérèse Zéba a estimé quant à elle que malgré ces acquis, l’égalité et l’équité restent parmi les priorités de l’Objectif du Millénaire de Développement (OMD) dans de nombreux pays moins avancé, y compris la République centrafricaine.
« Il n’y a pas de paix durable, pas de développement durable sans une égalité des sexes », a-t-elle martelé.
Selon elle, les progrès réalisés dans le domaine du renforcement des cadres normatif et législatif sur l’égalité de sexe n’ont pas été accompagnés d’une mise en œuvre soutenue. « Il faut, pour que cela se produise, que toutes les parties prenantes s’engagent pour soutenir un changement aboutissant à une transformation des relations hommes-femmes et la situation des femmes et des filles », a-t-elle déclarée.
Elle a remarqué que les engagements pris dans le but de faire progresser la question de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes nécessitent un renforcement significatif, à la fois au niveau macro économique (politiques nationales), intermédiaire (institutions) et opérationnel (au niveau du terrain).
Pour ce faire, elle a dit qu’une progression vers les objectifs de l’égalité des sexes nécessite la scolarisation des filles, leur permettant d’accéder à des postes de prise de décision.
Elle a précisé que « être former en plaidoyer , participer à la Table Ronde des donateurs n’est pas une fin en soi, c’est des instruments pour aller plus loin vers des objectifs préalablement établis au niveau des politiques et stratégies sectorielles genres en République Centrafricaine ».
