L’objectif de cet atelier vise à informer les partenaires techniques et financiers de la République Centrafricaine, les mobiliser à appuyer le gouvernement dans sa vision prospective RCA-2050, de recueillir leur adhésion autour de ce processus et aussi de faire le lien entre le RCPCA en cours et la vision à définir.
Dans ses propos, le Premier ministre, Félix Moloua a démontré que depuis l’accession à l’indépendance en 1960, la République Centrafricaine a élaboré et mis en œuvre plusieurs plans et programmes de développement qui avaient, entre autres objectif global, la réduction de la pauvreté à travers la promotion de la croissance, le développement des secteurs productifs tels que l’agriculture, la foresterie, les industries, les services , etc.
Il a reconnu que les acquis de ces efforts ont été rabotés depuis le début des années 90 par de multiples crises sociopolitiques et militaro-politiques qui ont atteint leur paroxysme en 2013, matérialiser par la baisse drastique de la production (- 36% du PIB en 2013) dans presque tous les secteurs de l’économie, la fuite des Investissements Directs Etrangers (IDE), la paupérisation d’une frange importante de la population, plongeant le pays dans une très grande fragilité sans pareille.
Pour le premier ministre Félix Moloua, les différentes consultations assorties des recommandations et des pactes avaient pour but de cerner les causes des crises récurrentes qui minent l’essor économique du pays.
Pour Félix Moloua, le gouvernement issu des élections groupées de 2015 et 2016, ayant pris la mesure de la situation et l’ampleur de la crise, a sollicité l’appui de la communauté internationale, notamment les Nations Unies, l’Union Européenne et la Banque Mondiale pour l’évaluation de la fragilité et l’élaboration d’un Plan de Relèvement et de Consolidation de la Paix en Centrafrique (RCPCA 2017-2021).
« Ce plan a été présenté aux bailleurs de fonds à la Table ronde de Bruxelles en novembre 2016, et repose sur trois piliers qui sont : soutenir la paix, la résilience et la sécurité; renouveler le contrat social entre l’Etat et la population et promouvoir le relèvement économique et les secteurs productifs », a rappelé le chef du gouvernement.
Il a expliqué que le DSRP qui a précédé le RCPCA n’était qu’un plan de court et moyen terme et ne se positionne pas comme une étape ou une séquence dans la mise en œuvre d’une vision à long terme et de l’auto-projection de la RCA dans le futur.
Le premier ministre a reconnu que l’absence de cette vision à long terme est un « gap » politique que le gouvernement a décidé de combler, en lançant l’Etude nationale prospective « RCA -2050, sous l’inspiration du chef de l’Etat.
« c’est dans cette optique que nous avons réuni les partenaires techniques et financiers pour définir ensemble l’appropriation de l’étude qui est un cadre de planification, de programmation pour mettre en place la vision et définir les stratégies d’approche » a-t-il expliqué.
Il faut noter que cette étude prospective qui est un cadre élargie a besoin des partenaires techniques et financiers de la République Centrafricaine afin de contribuer et apporter des réponses appropriées sur les acquis du RCPCA.
Dans ses propos, le Premier ministre, Félix Moloua a démontré que depuis l’accession à l’indépendance en 1960, la République Centrafricaine a élaboré et mis en œuvre plusieurs plans et programmes de développement qui avaient, entre autres objectif global, la réduction de la pauvreté à travers la promotion de la croissance, le développement des secteurs productifs tels que l’agriculture, la foresterie, les industries, les services , etc.
Il a reconnu que les acquis de ces efforts ont été rabotés depuis le début des années 90 par de multiples crises sociopolitiques et militaro-politiques qui ont atteint leur paroxysme en 2013, matérialiser par la baisse drastique de la production (- 36% du PIB en 2013) dans presque tous les secteurs de l’économie, la fuite des Investissements Directs Etrangers (IDE), la paupérisation d’une frange importante de la population, plongeant le pays dans une très grande fragilité sans pareille.
Pour le premier ministre Félix Moloua, les différentes consultations assorties des recommandations et des pactes avaient pour but de cerner les causes des crises récurrentes qui minent l’essor économique du pays.
Pour Félix Moloua, le gouvernement issu des élections groupées de 2015 et 2016, ayant pris la mesure de la situation et l’ampleur de la crise, a sollicité l’appui de la communauté internationale, notamment les Nations Unies, l’Union Européenne et la Banque Mondiale pour l’évaluation de la fragilité et l’élaboration d’un Plan de Relèvement et de Consolidation de la Paix en Centrafrique (RCPCA 2017-2021).
« Ce plan a été présenté aux bailleurs de fonds à la Table ronde de Bruxelles en novembre 2016, et repose sur trois piliers qui sont : soutenir la paix, la résilience et la sécurité; renouveler le contrat social entre l’Etat et la population et promouvoir le relèvement économique et les secteurs productifs », a rappelé le chef du gouvernement.
Il a expliqué que le DSRP qui a précédé le RCPCA n’était qu’un plan de court et moyen terme et ne se positionne pas comme une étape ou une séquence dans la mise en œuvre d’une vision à long terme et de l’auto-projection de la RCA dans le futur.
Le premier ministre a reconnu que l’absence de cette vision à long terme est un « gap » politique que le gouvernement a décidé de combler, en lançant l’Etude nationale prospective « RCA -2050, sous l’inspiration du chef de l’Etat.
« c’est dans cette optique que nous avons réuni les partenaires techniques et financiers pour définir ensemble l’appropriation de l’étude qui est un cadre de planification, de programmation pour mettre en place la vision et définir les stratégies d’approche » a-t-il expliqué.
Il faut noter que cette étude prospective qui est un cadre élargie a besoin des partenaires techniques et financiers de la République Centrafricaine afin de contribuer et apporter des réponses appropriées sur les acquis du RCPCA.