Cet atelier d’échanges et de réflexions a pour but de promouvoir le dialogue interreligieux en vue de consolider la paix et la cohésion sociale en Centrafrique.
Au cours de ces travaux, les participants échangeront entre autres sur le thème : la problématique de la paix et la cohésion sociale dans notre pays et les activités culturelles scientifiques et morales qui mettront en valeur l’importance et la nécessité de la culture de la paix et du dialogue interreligieux dans le contexte actuel.
Justifiant le contexte de ces assises, le Président du comité d’organisation de cet atelier, Aboubakar Bako, a rappelé que depuis le changement politique intervenu dans le pays le 24 mars dernier, « certains compatriotes tiennent des propos et posent des actes de nature à entrainer la division, la haine et à fouler au pied la liberté religieuse ».
Au regard de la gravité de la situation, a-t-il précisé « nous avons jugé utile de mettre en synergie nos efforts en vue de désamorcer le climat délétère qui prévaut dans nos communautés respectives et de promouvoir la paix et la cohésion sociale ».
Pour mémoire, la cohabitation entre l’islam, le christianisme et l’animisme a commencé depuis le 19ème siècle avec l’arrivée des colons français en 1897 dans les parties Nord et Nord-Ouest de l’Oubangui Chari. Depuis ce temps, les communautés issues de ces confessions religieuses ont mené une vie sociale et culturelle pacifiques et conviviales malgré leurs divergences doctrinales.
Il est à noter que cet atelier est organisé par l’Association des Cadres Musulmans Centrafricains (ACCM) en partenariat avec Women’s World Coalition For Green Sahel ; la Fondation Islamique pour la Paix et le Développement en Centrafrique (FIPADECA) ; le Réseau Afrique Central pour la Paix (RACPA et la Fédération pour la Paix universelle (FPU).
Au cours de ces travaux, les participants échangeront entre autres sur le thème : la problématique de la paix et la cohésion sociale dans notre pays et les activités culturelles scientifiques et morales qui mettront en valeur l’importance et la nécessité de la culture de la paix et du dialogue interreligieux dans le contexte actuel.
Justifiant le contexte de ces assises, le Président du comité d’organisation de cet atelier, Aboubakar Bako, a rappelé que depuis le changement politique intervenu dans le pays le 24 mars dernier, « certains compatriotes tiennent des propos et posent des actes de nature à entrainer la division, la haine et à fouler au pied la liberté religieuse ».
Au regard de la gravité de la situation, a-t-il précisé « nous avons jugé utile de mettre en synergie nos efforts en vue de désamorcer le climat délétère qui prévaut dans nos communautés respectives et de promouvoir la paix et la cohésion sociale ».
Pour mémoire, la cohabitation entre l’islam, le christianisme et l’animisme a commencé depuis le 19ème siècle avec l’arrivée des colons français en 1897 dans les parties Nord et Nord-Ouest de l’Oubangui Chari. Depuis ce temps, les communautés issues de ces confessions religieuses ont mené une vie sociale et culturelle pacifiques et conviviales malgré leurs divergences doctrinales.
Il est à noter que cet atelier est organisé par l’Association des Cadres Musulmans Centrafricains (ACCM) en partenariat avec Women’s World Coalition For Green Sahel ; la Fondation Islamique pour la Paix et le Développement en Centrafrique (FIPADECA) ; le Réseau Afrique Central pour la Paix (RACPA et la Fédération pour la Paix universelle (FPU).