
L’enjeu de cet atelier organisé par le ministère de la Santé en partenariat avec MSF et IPAS, est d’élaborer les activités de plaidoyer et le développement d’une feuille de route pour l’accompagnement aux mesures de réduction de la mortalité maternelle liée à l’accès aux services de santé de reproduction, aux grossesses non désirées et en tenant compte des facteurs socioculturels et des aspects juridiques.
Le membre du gouvernement a indiqué que cet atelier de trois jours permettra à une dizaine de partenaires clés de développer une stratégie de plaidoyer et un plan d’action pour guider la ratification et la mise en œuvre du protocole de Maputo qui se trouve sur la table de l’Assemblée nationale.
En mettant l’accent sur l’accès aux services de santé reproductive en vue de la réduction de la mortalité maternelle, et adapter le cadre légal centrafricain, le chef du département de la Santé a souligné que le gouvernement a fait de l’amélioration de la santé de la mère et de l’enfant sa priorité axée sur le développement du capital humain.
A cet effet, il a encouragé les partenaires nationaux et internationaux qui font de l’amélioration de la santé de la mère, de l’enfant et de la santé reproductive leur cheval de bataille.
« Un accent particulier doit être mis sur la prévention des grossesses non désirées en garantissant l’accès gratuit aux services de planification familiale, des prises en charge de qualité des complications des avortements et des victimes des violences sexuelles », a souhaité le ministre Pierre Somsé.
Il convient de rappeler que l’objectif du développement durable est de faire passer le taux de mortalité maternelle au-dessous de 70 pour 100 000 naissances vivantes.
Le membre du gouvernement a indiqué que cet atelier de trois jours permettra à une dizaine de partenaires clés de développer une stratégie de plaidoyer et un plan d’action pour guider la ratification et la mise en œuvre du protocole de Maputo qui se trouve sur la table de l’Assemblée nationale.
En mettant l’accent sur l’accès aux services de santé reproductive en vue de la réduction de la mortalité maternelle, et adapter le cadre légal centrafricain, le chef du département de la Santé a souligné que le gouvernement a fait de l’amélioration de la santé de la mère et de l’enfant sa priorité axée sur le développement du capital humain.
A cet effet, il a encouragé les partenaires nationaux et internationaux qui font de l’amélioration de la santé de la mère, de l’enfant et de la santé reproductive leur cheval de bataille.
« Un accent particulier doit être mis sur la prévention des grossesses non désirées en garantissant l’accès gratuit aux services de planification familiale, des prises en charge de qualité des complications des avortements et des victimes des violences sexuelles », a souhaité le ministre Pierre Somsé.
Il convient de rappeler que l’objectif du développement durable est de faire passer le taux de mortalité maternelle au-dessous de 70 pour 100 000 naissances vivantes.