Dans son discours d'ouverture pour la 10è Conférence annuelle de l'Union nationale africaine du Zimbabwe-Front patriotique (Zanu-PF) vendredi, le président Mugabe a critiqué les manoeuvres effectuées récemment par l'Occident pour inciter à une intervention militaire, en soulignant que le Zimbabwe est un pays pacifique.
Il a appelé l'Occident à lever les sanctions contre le Zimbabwe, qui sont à l'origine des pertes en vies humaines et des souffrances, affirmant que le Zimbabwe ne se rendra pas à l'Occident, même si les sanctions ne sont pas levées.
En ce qui concerne le dossier d'un gouvernement inclusif, M. Mugabe a indiqué que selon les arrangements, il demeurerait le chef du gouvernement, ce qui ne satisfait pas à Londres qui soutient l'opposition du Zimbabwe.
Il a également accusé Londres de décourager le dirigeant du Mouvement pour le changement démocratique (MDC, opposition), Morgan Tsvangirai, d'accepter les arrangements, ajoutant que M. Tsvangirai ne peut plus contrôler lui-même.
M. Mugabe a appelé à cette occasion les partisans de la Zanu-PF à l'unité, disant que le désaccord affaiblira le parti.
Il a appelé l'Occident à lever les sanctions contre le Zimbabwe, qui sont à l'origine des pertes en vies humaines et des souffrances, affirmant que le Zimbabwe ne se rendra pas à l'Occident, même si les sanctions ne sont pas levées.
En ce qui concerne le dossier d'un gouvernement inclusif, M. Mugabe a indiqué que selon les arrangements, il demeurerait le chef du gouvernement, ce qui ne satisfait pas à Londres qui soutient l'opposition du Zimbabwe.
Il a également accusé Londres de décourager le dirigeant du Mouvement pour le changement démocratique (MDC, opposition), Morgan Tsvangirai, d'accepter les arrangements, ajoutant que M. Tsvangirai ne peut plus contrôler lui-même.
M. Mugabe a appelé à cette occasion les partisans de la Zanu-PF à l'unité, disant que le désaccord affaiblira le parti.